architecture, The news!

dans ce topic je vous propose de parler des nouvelles techniques en construction, des nouveaux materiaux et des architectes qui vous ont séduit mais aussi des nouvelles prouesses dans le domaine architectural.

aujourd'hui 04/11/2006 :

Feichtinger architectes, vous propose d’assister à mise en place de “ la plus grande portée libre au monde, pour une passerelle piétonne : 230 m entre appuis pour une longueur totale de 248 m “
à vous épautistes!

05/11/2006 :

Concours international d’architecture : prix Velux 2006 : “la lumière de demain,” - le Danemark, l’Espagne et le Royaume-Uni remportent les trois premiers prix.
Ce concours réservé aux étudiants des écoles d’architecture du monde entier a vu 2 037 inscriptions, venues de 496 écoles dans 92 pays. 557 équipes d’étudiants dans 225 écoles de 53 pays ont soumis un projet au jury qui a délibéré à Madrid le 20 juin 2006 et a décerné trois prix et dix-sept mentions.

héééé oui ou sont les épautistes!!!?

06/11/2006 :

Le Pain des Chaldéens ; Les jardins de Chantereine /Sarcelles
Une nouvelle collection dirigée par l’architecte Patrick Bouchain et Claire David se propose “une autre façon de penser l’architecture” au carrefour entre le citoyen, l’élu, l’architecte et le chantier .

06/11/2006 :

CNOA : « La France de demain a besoin des architectes »
LE PROJET « ARCHITECTURE 2007 » présenté le 6 décembre 2006, comportera aussi des propositions sur : l’urbanisme et les quartiers sensibles

rien pour aujourd'hui dsl
mais on a ça pour vous

Propriétaire / occupant : Swiss Re
Localisation : le site est délimité par St. Mary Axe, Bury Street, Bury Court et Browns Buildings.
Dates de construction : 2001 - 2003
Taille du site : 0,57 hectares (1,4 acres)
Hauteur : 180 mètres / 590 pieds (trois fois la hauteur des Chutes du Niagara)
Nombre d´étages : 40 (+ rez-de-chaussée + sous-sol)
Capacité théorique de l´immeuble : 3 500 personnes
Surface nette commerce: 46 000 m2 / 500 000 pieds2 (du 2ème au 34ème étage)
Surface de plancher moyenne: 1 400 m2
Chape au sol : 1 400 m2
Stationnement : 18 zones de stationnement, dont 5 pour handicapés, et de bonnes installations de maintenance.
Diamètre : 49,3 m à la base
56,5 m au 17ème étage
26,5 m au 39ème étage
La circonférence maximale de la tour a seulement 2 m de moins que sa hauteur

Revêtement extérieur : revêtement en verre, profils en aluminium - 24 000m2, soit 5 terrains de foot
Acier pour la construction : 10 000 tonnes/35 Kms - 8 mega Newtons (71 autobus à deux étages) sur la poutre de rive du N.2
Structure triangulaire façade : 7 kilomètres
Pilotis : 9 Km de pilotis (333nr @750 mn de diamètre)
Béton armé : 1 750 m3 pour le chapiteau du pilotis central, soit 2 piscines olympiques
Ascenseurs : 18 ascenseurs pour passagers et à tout moment 378 personnes peuvent être transportées verticalement dans l´immeuble à une vitesse de 6m par seconde.
Restaurant : à 165 m il sera le plus haut de Londres.



Le projet Swiss Re au 30 Saint Mary Axe est le premier gratte-ciel environnemental de Londres. Situé en plein cœur de la City, sa forme singulière, immédiatement reconnaissable se détache dans le profil urbain pour devenir un point de repère dans le premier centre financier d´Europe.

La tour incarne une stratégie environnementale très progressive, avec sa forme aérodynamique qui utilise au maximum la lumière du jour et la ventilation, afin de réduire de manière significative la consommation en énergie de l´immeuble.
La volonté d´offrir à chacun des conditions de travail optimales et une vue exceptionnelle sont aussi des éléments import

t'as oublié de siter le concepteur!! l'architecte britanik Norman Foster et je rajoute ke les londoniens ont surnomé l'edifice: Le concombre

merci kho
voila vous savez tout.

13/11/2006 :

Biennale de Venise : Pavillon du Danemark-Chine : C comme Collaboration. D comme Dynamique . Les commissaires de ce pavillon réussissent un coup double.
Sortir le nationalisme des pavillons du Giardini, et poser une véritable question de prospective urbaine, bien loin du nombrilisme de la plupart des autres pavillons qui exposent leur propre identité, avant de s’attaquer aux problèmes de l’urgence de la planète.

la suite de l'info:

Tout d’abord en accueillant dans son pavillon, un pays non encore représenté dans les Giardini. Puis, en laçant en guise d’utopie, une véritable prospective urbaine sur une réalité à venir : L’émergence d’une classe moyenne chinoise, qui va ainsi accéder à un mode de vie “occidental.” Ce sont près de 400 millions de chinois, autant que d’européens, qui vont dans les deux prochaines décades accéder à la société de consommation. Cependant, avec des revenus mensuels de près de 700 dollars, il reste à imaginer la ville de demain qui devra être, en plus, parfaitement pérenne. C’est donc le rêve chinois urbain que se propose d’imaginer danois et chinois, chacun apportant son savoir dans le pot commun. Bien loin des rêves bobos de conservation de quartiers historiques pour une minorité, la proposition danoise et chinoise, va résolument de l’avant, sans complexe. Peut être la dernière véritable utopie.

Travail appliqué, de recettes déjà énoncées ailleurs, mais qui a le mérite ici de se confronter à un enjeu immédiat.

L’attribution du Lion d’Or au pavillon Co-évolution semble donc particulièrement logique, et en phase, avec le propos tenu par Richard Burdett à l’Arsenale.

En savoir plus
Co-evolution Danish Architecture Centre Kent Martinussen
Curators : UiD ( Henrik Valeur, Uwe Wütherich, Lea Bolvig, Annelie Hâkansson, Karin Londgren, Ma Liang, Liu Hanxin, Haydar Al-Khatib, Christopher Pilgaard.

INFO du 15/11/06 :

L’exposition de la troisième session des nouveaux albums des jeunes architectes et des nouveaux albums des paysagistes inaugurent une petite partie de la future Cité de l’architecture et du patrimoine.

details:


A l’honneur aujourd’hui, les lauréats 2006, de la troisième session des nouveaux albums des jeunes architectes ( NAJA), et ceux de la première session des nouveaux albums des paysagistes ( NAP), sans doute moins jeunes pour ne pas bénéficier de ce qualificatif prometteur. Il faut encore ajouter, au fin fond de ce qui semble avoir été d’obscures réserves, l’exposition du concours d’architecture et d’urbanisme ARTEM à Nancy, avec de glorieux candidats ; OMA-Rem Koolhaas, Herzog et de Meuron, Dominique Perrault, Henri Ciriani, et le projet lauréat ; celui de l’architecte Nicolas Michelin.

Les NAJA et NAP
22 jeunes équipes d’architectes en devenir d’un coté, et 5 équipes de paysagistes de l’autre. L’architecture et le paysagisme ne faisant pas partie des fonctions régaliennes d’un Etat. Il y a donc une réelle générosité, unique en Europe, de prévoir un tableau d’honneur pour les jeunes architectes et paysagistes, d’autant plus que les frontières ont été repoussées pour l’occasion.

On soulignera donc, le plaisir qu’il doit y avoir pour une jeune équipe de ramener à la maison un tel certificat soigneusement rangé dans son cartable, fruit d’un long effort et de beaucoup d’espérance, d’un rêve en train de se réaliser.

Comme cet instant de bonheur doit être précieux et inoubliable, mais comme le dépit des malchanceux recalés doit être grand aussi.

Pour unifier toute cette jeune fougue, c’est une ancienne lauréate d’une session précédente des NAJA, Karine Herman, qui reçut la charge de scénographier la scène. Forte et indépendante d’esprit, elle surprend son monde avec des sortes de lutrins réinventés en forme de ... girafons sans tête, curieusement, recouverts d’une peau synthétique de Léopard. Sans doute l’inspiration a du venir du changement de leur dernier OS informatique, mais le coté zazou du résultat ne manque pas d’humour, voire d’une note d’irrespect. Le visiteur regrettera, pour l’occasion, et pour un premier contact avec la Cité de l’architecture et du Patrimoine, de se retrouver dans des espaces aussi étriqués, ( 300m2 sont annoncés) qui nous dit-on, seraient les futurs espaces des expositions temporaires.

Une si grande machine que le palais de Chaillot pour accoucher de boyaux aussi étroits, dévolus à la création contemporaine, cela ne nous rassure pas. D’autant plus, que je ne sais qui, nous promettait, depuis des lustres, le plus grand centre d’architecture du monde avec des dizaines de milliers de mètres carrés partout.

Heureusement pour se rattraper, “la Cité” avait organisé un majestueux buffet dans un étonnant lieu dénommé “la Cathédrale”, sorte de grand réfectoire avec une voûte plein cintre en vrais vieilles pierres apparentes d’époque. Cette cathédrale évoquait plus une pizzeria napolitaine XXL, comme cela se faisait encore il y a vingt ans le long de l’ex Nationale 7, qui aurait été conçue par Umberto Napolitano, ( la pizzeria pas la Nationale,) que le centre cultuel du petit monde de l’architecture. Mais le public parisien de ce même petit monde de l’architecture a largement répondu présent, ce soir là, et sans doute est-ce déjà un succès pour les organisateurs, tout le monde a trouvé le chemin, et a semblé vouloir en être. Un public jeune, de déjà vieux NAJA, et futurs vieux NAJA, et de jamais NAJA qui avait l’air assez heureux de se retrouver. Et là on en revient à la générosité des maîtres des lieux, pour offrir de telles occasions à tout ce petit monde, qui on l’espère, en est tout de même reconnaissant.

En annexe, la Cité de l’architecture a confié à quelques équipes de NAJA, l’aménagement pérenne de pièces et de mobilier. Une salle de conférences, Pour Rémy Marciano architecte, qui dialogue habilement avec l’architecture existante des années trente. Une autre salle de conférences, pour les architectes Colomer et Dumont, façon Odyssée 2001 en peau de briques, assez réussie. Sans oublier l’agencement d’un escalier avec une flottille d’ovnis plus convenue pour l’agence “Explore architecture,” et une terrasse ( non visible ce jour là.) conçue par l’équipe “Mutabilis,” et enfin deux éléments de mobilier, conçus par Scaranello.

Pour finir, avant de s’échapper, il restait à parler du contenu du fruit de toutes ces initiatives publiques. On est frappé par le talent de cette jeune génération très motivée, pour nous abreuver de très belles images informatiques “en situation”, qui forment du même coup un “standard”. Il reste à trouver l’originalité de ces propositions d’idées sensées s’attaquer à la résolution des problématiques urbaines, et spatiales, actuelles et à venir. La prospective appartenant aussi à la création.

Deux catalogues, très bien faits, sont édités pour l’occasion chez Jean-Michel Place éditeur : Un pour les architectes ( 22euros ) et le second pour les paysagistes ( 10 euros), ils regroupent les travaux des équipes lauréates, avec des textes du Journaliste Cyrille Poy, qui fin observateur, remarque que certains des lauréats opérent en solo, alors que d’autres forment équipe. Il faudrait faire les albums des nouveaux journalistes.

Jérôme Auzolle

INFO du 16/11/06:

Guerric Péré, urbaniste : "La Canebière doit retrouver une dimension"


MARSEILLE, 16 nov 2006 (AFP) - Redonner une dimension humaine à la Canebière, un axe saturé de voitures en "remettant le piéton au centre de la ville", c'est l'objectif de l'agence d'urbanisme-paysagisme lyonnaise Ilex, retenue pour les aménagements extérieurs liés au passage du tramway dans l'hyper-centre de Marseille, comme l'explique son co-fondateur Guerric Péré.

Q: Quelle est, de votre point de vue d'urbaniste-paysagiste, la spécificité de la Canebière ?
R: "C'est un axe avec une forte dimension symbolique, dépassant de loin ses dimensions spatiales - environ 1 km de long sur 30 m de large - qui était quasiment étouffé par l'automobile. A Marseille, jusqu'à récemment, 70% de l'espace public étaient occupés par les voitures et la Canebière était un embouteillage ambulant. Cet espace, encombré de strates de mobiliers urbains, se résumait à un grand axe routier".

Q: Comment l'arrivée du tramway, dans ces conditions, peut-elle permettre de décongestionner cette avenue ?
R: "L'objectif majeur est que la Canebière retrouve une dimension humaine. On aère cette artère en remettant le piéton au centre de la ville. On reprend l'espace aux voitures qui ne circuleront plus que sur une 2X1 voie, contre 2X2 avant. La largeur des trottoirs va quasiment doubler pour atteindre 12 m de chaque côté. Et le tramway sera un prolongement des trottoirs. Dans la partie sud où il ne passera pas, à proximité immédiate du Vieux-Port, on aura même une véritable esplanade. Cette nouvelle Canebière sera arborée, comme elle l'était jusqu'à la deuxième guerre mondiale, avec des lilas des Indes et des micocouliers. Les lampadaires en fonte façon début de siècle qui faisaient aussi l'identité de la Canebière, seront réinstallés. La qualité du sol, du porphyre de teinte rose-rouge, vise à donner un certain prestige à l'ensemble, comme une +robe rouge+ que l'on déroule, et une unité à cette avenue à l'architecture très disparate".

Q: Elus et chambre de commerce répètent qu'ils veulent "monter en gamme" sur la Canebière, essentiellement occupée par des magasins bas de gamme, avec une population à faible pouvoir d'achat. N'y a-t-il pas là un risque social ?

R: "Je ne crois pas à un phénomène de +karchérisation+. Marseille ne fonctionne pas ainsi. Il ne s'agit pas d'exclure mais de redonner spatialement des possibilités, ce qui changera l'image que se font de la Canebière les Marseillais qui auront envie d'y venir. Je crois beaucoup aux terrasses de cafés, comme elles existaient au début du XXe siècle. J'espère que le Vieux-Port, lui-même sous l'emprise de la voiture, suivra cette voie-là".

Propos recueillis par Renaud LAVERGNE

l'administration s'excuse du retard apporté au topic .

INFO Du 17/11/06 :

« Demain c’est aujourd’hui »

DETAILS :


Les produits du futur tels que les imaginent les entreprises et les designers

Plus de 140 projets de 35 participants internationaux
Une centaine de maquettes et prototypes
Des concepts innovants en provenance de tous les secteurs
La première exposition de ce type présentée en France

L’exposition « Demain c’est aujourd’hui », conçue par Claire Fayolle, montre comment les entreprises et les designers réfléchissent à l’avenir. Elle permet de découvrir quels sont les futurs produits et services en préparation.
C’est la première fois que des produits concepts appartenant à des secteurs très différents sont rassemblés en un même lieu.
L’exposition offre une vision large des recherches design des entreprises. Elle apparaît ainsi comme un cahier de tendances grandeur nature.


2 EME INFO :

Les Rencontres Internationales Paris/Berlin consacrent chaque année une séance vidéo et projection dédiée à l'Urbanisme et à l'Architecture, vue par des regards différents, des regards d'artistes venus du monde entier.

DETAILS :

Urbanisme et architecture / courts métrages, fiction et documentaire exp. – en présence des réalisateurs : Philippe Terrier-Hermann – Julien Dubuisson, Arnaud Laroche - Jean-Luc Vilmouth - Loïc Vanderstichelen, Simon Backes; le vendredi 24 novembre 2006 à 18h30

19/11/06:

Oscar Niemeyer se remarie à 98 ans, avec sa secrétaire.

Selon une dépêche AFP, reproduite ci-dessous, l’architecte brésilien Oscar Niemeyer, Pritzker Prize 1988, se remarie à l’âge de 98 ans, avec sa secrétaire, âgée de 60 ans, Vera Lucia Cabreira.



RIO DE JANEIRO, Nov 18, 2006 (AFP) - Brazil's legendary modernist architect Oscar Niemeyer, proving it is never too late for something new, has wed his secretary at the tender age of 98.

Niemeyer, who turns 99 on December 15, tied the knot with his 60-something secretary Vera Lucia Cabreira at his Rio home on Thursday, celebrated with
wine and Cuban cigars, and then told his family about his nuptials on Friday,
local media reported.

"Only the authorities who carried out the ceremony and a small group of friends who were witnesses were there," Niemeyer said, asking that his privacy be respected.
The couple has known each other for three decades, and Niemeyer -- known widely for landmark buildings in his country's modernist capital, Brasilia -- still works.
Lest anyone think him impetuous, Niemeyer has an impressive marriage record: He was married for 76 years to Annita Baldo, who died in 2004.

dj_sparco a écrit:"Only the authorities who carried out the ceremony and a small group of friends who were witnesses were there,"

on a aucune chance de se faire invité alors
c'est bien à 98 ans sa fait plaisir! je croyais qu'il ne travailé plus a cet age comment sa se fait qu'il a une secretaire???

c'est tout ce qu'il m'a dit jas, kali tu mets l'info sur le forum epautiste basta .lol!! héé oi l'amour n'a pas d'age ,on dirai que c'est pareil pour l'architecture.

21/11/2006 :

130 226 visiteurs, en 71 jours, à la Xe biennale d’architecture de Venise qui s’est tenue du 7 septembre au 19 novembre 2006.

1938 groupes, 7887 entrées individuelles, et 64 649 étudiants, chiffres en augmentation par rapport à l’édition 2004 “ Metamorph” qui avait alors reçu 1147 groupes, 3721 entrées individuelles, et 54 692 étudiants.

A noter qu’entre les 6 et 9 septembre 2006, durant les quatre jours de l’inauguration, ce sont près de 23 367 visiteurs qui arpentérent les lieux, sous le chaud soleil du mois de septembre 2006.

L’événement a été couvert par 1962 journalistes accrédités, dont 1006 reporters de 51 pays, et 956 journalistes italiens. A ce jour le communiqué de presse fait état de 793 articles parus, et de plus de un million de commentaires online.

autre info ché pas si vous savez mais un algerien a créé un nouveau beton "le beton blindé"
ils sont en ce moment meme en train de construire une maison pilote pour verifier les capacités de ce beton (moin cher,execution rapide)
voila voila

j'en ai entendue parler mais ce n'est pas le nom qu'on m'a donné!enfin je ne suis pas sure! j'ai juste retenue ces qualités que algerianVertigo a cité et qui sont l'econmie sur le temps et l'argent!

mais c'est tres interessant ce ke vous dites là, mais je voudrai plus de detailles svp. car je connais un architecte ici en france, mais il n'est pas algerien, il est né en Algerie (c un pied noir). il m'a parlé d'un procédé k'il a inventé et breveté ici en France. mais c pas du béton. c du sable fondu a la chaleur.. (g oublié les details). effectivement plus solide ke le béton.
g perdu contacte avec lui mais Inchallah je v le rappeler peut etre k'il s'agit de lui

23/11/2006 :

Lancement du concours restreint pour l'architecte de l'auditorium de la Villette :

PARIS, 22 nov 2006 (AFP) - L'association chargée de préfigurer le futur grand auditorium symphonique du parc de la Villette, à Paris, a lancé le concours à l'issue duquel sera désigné l'architecte maître d'oeuvre du bâtiment, qui ouvrira au public en 2012, a-t-elle indiqué mercredi.

L'association, dénommée Philharmonie de Paris, a annoncé avoir "transmis vendredi 17 novembre son avis de concours au Journal officiel de l'Union européenne".
Les candidatures peuvent être adressées à l'association avant le 26 décembre.
Un jury, présidé par le ministre de la Culture et de la Communication, Renaud Donnedieu de Vabres, et le maire de Paris, Bertrand Delanoë, retiendra "5 ou 6 candidats appelés à concourir dans les premiers jours de janvier 2007", indique la Philharmonie de Paris, en précisant que "le lauréat sera désigné à la fin du mois de mars 2007".

MM. Donnedieu de Vabres et Delanoë avaient annoncé le 6 mars la signature d'un accord prévoyant la réalisation d'une salle d'environ 2.400 places près de la Cité de la musique, idée ancienne qui constitue un serpent de mer de la vie musicale parisienne.

L'équipement, qui accueillera au moins un orchestre symphonique et un ensemble baroque en résidence, et dont la construction est estimée à 200 millions d'euros, sera financé à égalité par l'Etat (45%) et la ville (45%), la région Ile-de-France devant apporter les 10% restants.

MM. Donnedieu de Vabres et Delanoë avaient annoncé la constitution de l'association Philharmonie de Paris le 16 novembre.

si je peux me permettre de donner une info que j'ai trouvée interessante!

La France doit construire 500.000 logements par an jusqu'en 2010, et 470.000 par an de 2010 à 2020, afin de répondre à une demande "vitale et forte", selon une étude réalisée à la demande du Crédit Foncier et rendue publique mardi passé.

Publiée par l'Observateur de l'immobilier du Crédit foncier, cette étude montre que le besoin en logements est beaucoup plus important que ce qui a été prévu par les statistiques officielles en raison d'un "choc sociologique" qui "bouleverse la demande".
Le gouvernement affirme qu'il aura construit 450.000 logements en 2006, mais "on a toujours autant de mal à se loger", constatent les auteurs de l'étude.
Elle relève le paradoxe d'une "offre importante et améliorée" qui se retrouve encore aujourd'hui face à "une demande insatisfaite" et des "prix qui s'envolent". Devant une telle situation, "la seule réponse est l'accroissement de l'offre", affirment-ils.
Dans un "parc immobilier qui s'est beaucoup amélioré ces 30 dernières années, la taille des logements est passée de 2,7 pièces à 4 pièces", mais le taux d'occupation des résidences principales est passé "de 3,1 personnes en 1946 à 2,31 aujourd'hui". Pendant ce temps-là, le taux de propriétaires est passé de 35 à 57%.
Cette situation est le fait de "changements sociologiques structurants": des seniors qui changent de comportement en étant plus mobiles et en vivant plus vieux, des cellules familiales éclatées avec des habitats séparés, un paysage professionnel changé avec les délocalisations et le travail à domicile, et enfin les nouveaux flux migratoires avec l'attrait de la France pour les habitants des pays du Nord et l'accroissement des étudiants étrangers dans le cadre de programmes européens.
A eux seuls, les nouveaux modes de vie dus à l'éclatement de la cellule familiale se traduisent par un besoin de 85.000 logements. Les familles monoparentales sont estimées à 1,6 million en France et plus de 8,5 millions de personnes vivent seules, soit 14% de la population.
Chez les retraités, les personnes de plus de 60 ans, qui étaient 12,6 millions en 2005 seront 22,3 millions en 2050, et les plus de 85 ans représenteront à la même date 4,8 millions contre 1,1 aujourd'hui.
Cela implique notamment des investissements massifs pour conformer le parc immobilier à une population demandant des logements plus adaptés, plus sécurisés et plus proches de zones commerciales.

26/11/2006:

Une opération immobilière privée, exposée au Pavillon de l’Arsenal:

La Porte de la Villette est aujourd’hui un espace délaissé, sans grande qualité urbaine.

Vécue d’une automobile, lancée sur le périphérique parisien, Il s’agit de cette partie qui se caractérise par une envolée vers les nuages, une dizaine de mètres au dessus du sol naturel, et, soudainement, par un virage presque à angle droit délimitant ainsi le coin supérieur nord-est parisien.

Pour ceux qui empruntent le périphérique intérieur ( dans le sens des aiguilles d’une montre autour de la capitale,) à votre droite vous longez l’emprise de l’imposant musée de la Villette, anciennement ex-futur marché de gros de la viande,) qui masque le parc de la Villette, et à votre gauche un quartier qui se caractérise au début, par une tour de bureaux dénommée “Pariféric”, avant plus tard de longer les anciens moulins de Pantin, eux aussi objet d’une opération urbaine d’envergure.

L’objet de ce concours, lancé par la SODEARIF, ( filiale de développement immobilier de Bouygues Construction, moins connue pour son grand oeuvre architecturale, que pour son efficacité économique, ) est d’édifier un complexe hôtelier d’environ 15 000 m2 SHON, ainsi qu’un complexe commercial d’environ 8.000 m2 SHON, sans oublier un parking de près de 300 places. )

L’échelle ici de cette opération peut se résumer à ... 80 Km/H . C’est en effet une des caractéristiques de ce boulevard périphérique, ceinturant la capitale de son ruban de plus de trente kilomètres de bitume, d’être, un musée d’objets urbains, visibles seulement quelques secondes, généralement.

La plupart sont médiocres, issus de la seule logique immobilière. Mais, parfois, de singulières et solitaires silhouettes, sans être magnifiques, identifient, et accrochent l’oeil, devenant, à leur insu les emblèmes des portes traversées.

Si l’histoire de ces lieux parisiens est pratiquement invisible à 80 Km/H sur le périphérique, les traces et empreintes visibles n’en sont pas moins parlantes et forment parfois une impression que l’on doit ressentir en arrivant à Brasilia, ( Bien sûr, cela demande un peu d’imagination, et sans doute beaucoup de vanité parisienne. )

Il aurait été facile de placer ici quelques surfaces de M2 standard et anonymes, de véritables congélateurs à urbanité. Mais les temps changent, et même les plus impitoyables investisseurs et aménageurs, se doivent d’évoluer vers le don à la Société, d’une forme de désir urbain, et d’identification temporelle, il est vrai pourtant invisible dans le bilan financier de fin d’année de ces aménageurs.

Ici, comme beaucoup de concours d’architecture, en France on retrouve donc deux équipes dynamiques étrangère, véritables lièvres, et deux équipes d’architectes français placés, qui, souvent brisées par l’adversité, les ailes coupées, sont réduites à produire du m2 aux normes incendie, et aux surfaces dictées par une commercialisation efficace pour une utilisation indigente apte à tout changement de programme lambda.

Généralement, Comme récemment aux Halles, et à Nancy avec le projet exposé actuellement à la Cité du Patrimoine, ce sont toujours les projets dictés par l’investisseur du coin qui gagnent, jamais l’architecture ni la qualité architecturale, ni finalement l’intérêt général qui parfois rejoint la paix sociale.

Pour une fois, et sans doute aussi de par l’influence d’une bonne fée présente au jury, c’est une des équipes hollandaises qui a gagné, comme quoi il ne faut jamais complètement désespérer au pays des pommes de terre. Et c’est un projet qui semble allier bon sens, vrai travail de signification formelle, réponse au programme. Mais il risque encore de se passer beaucoup de choses d’ici la livraison de ce projet.

Le projet lauréat de l’équipe Neutelings Riedijk Architecten propose une forme rapidement identifiable ; un plan triangulaire aux arêtes arrondis, dégageant une cour intérieure, et signifiant, de par sa rotondité pleine, être un contenant protecteur et généreux, qui s’élève et se termine selon les configurations proposées, en dôme ou en toit terrasse, alors éventuel support d’enseignes.

Cette réponse est à l’opposée des trois autres propositions semblan,t se contenter ; soit de disparaître dans le paysage urbain ( équipe Elisabeth Naud & Luc Poux architectes ) ; soit de proposer de véritables portes écrans perpendiculaire à la fluidité et au sens du périphérique. Intention assez étrange de reconstituer des coupures.

La prise de parole ces réponses semblent se réduire à admettre un effacement et une disparition annoncée de toute empreinte générationnelle.

Le concours ayant eu lieu à l’époque de la candidature de Paris à l’organisation des Jeux Olympiques de 2012, il ne faut pas voir de malice aux allusions des projets candidats à l’organisation de ces mêmes J.O. Mais plutôt un signe que la décision finale a été longue à prendre, et que l’audace et le hors norme ne semble pas encore nécessaire à beaucoup.
J.A


Exposition : “ Consultation pour la construction d’un complexe hôtelier et commercial”
Projet lauréat : NEUTELINGS RIEDIJK Architecten
Exposition du PAVILLON DE L'ARSENAL Jusqu'au 7 janvier 2007, Mezzanine Nord, 2e étage. Ouvert tous les jours, accès libre.
le site officiel
http://www.pavillon-arsenal.com

les sites des architectes cités
http://www.neutelings-riedijk.com

Tania Concko
http://www.platformgras.nl/delinie/realiseerder.php?id=4

Hubert Godet architecte
( pas de site trouvé. )

Elisabeth Naud & Luc Poux architectes
( pas de site trouvé. )

29/11/2006:

c'est surtout pour les anciens qui travaillent à l'etranger.

L'Ordre des architectes français recherche... des architectes de bonne moralité; cinq ans d’expérience minimum; mais au moins dix ans d’inscription au tableau des architectes français.

Texte du communiqué :

A partir de 2007, le Conseil régional de l’Ordre devra prononcer, sans avoir à engager d'action disciplinaire, une décision de suspension et de radiation du Tableau, en cas de défaut d’assurance professionnelle.

Les architectes faisant l'objet d'une mesure de suspension ou de radiation administrative ne pourront plus, à titre provisoire ou définitif, porter le titre et exercer la profession.

C’est dans ce contexte que l’architecte gestionnaire ou liquidateur va intervenir. Ce confrère sera chargé de suppléer l'architecte suspendu ou radié du Tableau.

Il s’agit d’une mission de service public.

L ’Ordre des architectes recherche donc des professionnels soucieux de l’intérêt général et de la solidarité, afin de constituer une liste de gestionnaires immédiatement et rapidement disponibles.

L’indemnisation
Cette mission est indemnisée. Pour 2006, le montant de l’indemnisation (qui n’est ni soumise à TVA ni à cotisations sociales) est fixé à 280 € par demi-journée. Ce montant sera réajusté chaque année.

Le profil
Les conditions pour faire acte de candidature sont les suivantes :
- être inscrit au Tableau depuis au moins dix ans,
- être inscrit au Tableau en qualité de libéral ou d’associé d’une société d’architecture,
- justifier d’une expérience de cinq ans au moins en tant libéral ou en tant qu’associé d’une société d’architecture
- être de bonne moralité (casier judiciaire vierge, absence de condamnations disciplinaires)
- être à jour d’assurance professionnelle et de cotisations ordinales.

Pour en savoir plus : cliquez ici
http://www.architectes-idf.org/telechargement/divers/appelacandidaturearchitectesgestionnairesliquidateurs.pdf

Pour télécharger l’acte de candidature : cliquez ici
http://www.architectes-idf.org/telechargement/divers/actedecandidaturearchitectegestionnaireliquidateur.pdf

Si vous êtes intéressé, merci de bien vouloir compléter l'acte de candidature et le retourner :

- par courrier :
A l’attention du service juridique,
Conseil Régional de l’Ordre des architectes d’Île-de-France
148 rue du Faubourg Saint-Martin 75010 Paris

- par fax : 01 53 26 10 61

- par mail : gestion-agence@architectes-idf.org

05/12/2006:

Cours de la ville de Paris à l’Ecole du Louvre : « Construire au XXIe siècle » le vendredi du 10 novembre 2006 au 11 mai 2007

La Ville de Paris est-elle une « capitale de l’architecture » ? Si l’on considère son patrimoine, la réponse est évidente. Mais qu’en est-il de la production contemporaine ?

Aujourd’hui, quels sont les enjeux de l’architecture ? Y-a-t-il une place pour des œuvres originales ? Existe- t-il des perspectives de développement pour une ville
dont l’emprise territoriale est déterminée depuis longtemps ? Comment intervient-on dans des quartiers anciens ou sur des bâtiments patrimoniaux ? Bien d’autres questions encore, auxquelles répondront des architectes, des chercheurs, des historiens. Ceux-ci présenteront des réalisations et des projets représentatifs des
grandes orientations de l’architecture contemporaine.
Ils s’intéresseront aussi aux questions urbaines, replaçant Paris dans une dimension régionale ou dans des problématiques plus techniques et environnementales. Du monument au simple immeuble d’habitation, il s’agira de se confronter avec les processus de création et d’appréhender les contraintes du projet.

http://www.ecoledulouvre.fr