Chronique d'histoires réelles sans fin

Gros ras-le-bol ou aveux d'un athée? (lol)

"déposez moi ici"..............aprés une legere hésitation "attendez que je dépasse la police" le taxieur
une volontés de bien faire se dégage de ces hommes sans principes, malgré toute la perversité qui se déguage d'eux. quoi qu'il en sois ils vous déposerons toujours a l'endroi demandé, ils n'oublient jamais leurs fonctions, il sont fidelent a leurs gagne pains.
nous devrions tous suivre leurs exemple.
l'avenue bobilliot
a changer, au temp de mon adoléscence c'était une rue impréssionnante ou la marche était fatiguante mais trés agréable, dominer l'algérois de ces hauteurs vous fait naitre un éxcé de patriotisme troublant qui vous fait mouiller les yeux facilement. aujourd' huit les choses ont changé, alger est devenu un grand circuit pour belles voitures, et pour accéder et boubilliot (avenue de l'indepandance) est devenu une étape crutiale du circuit puisqu'elle relie le champ de manoeuvre -appélé par nos révolutionnaire "place du 1er mai" et nouvellement appelé par des amnésique "la place de la concorde civile"- au rempoint d'adiss abébaou plein de trous ont était creusé pour fluidification de la frime pour les hommes et tout récemment des femmes.
la périne
ces étudiants ne vivent pas comme nous, ou plutot c'est nous qui ne vivons pas comme eux. eux ils sont normaux.
un complexe d'isolement nous range, nous sommes coupée de la société et du monde.........................a suivre

j'ai longtemps hesiter mais maaliche je balance......

-quotidien d'une jeune fille dans le bus-

15 :27,Dans un bus quelque part entre Alger et Hadjout ; deux personnes réunies par le hasard, (une plus réunie que l’autre). Hamid a la trentaine. C’est un brun plutôt mince. l’algérien commun. Il porte une chemise orange et un pantalon classique un peu trop grand pour lui( signe d’appartenance a la société algérienne) . Souhila a peut être vingt trois ans . elle est blanche de peau mais ses cheveux sont presque noirs. Elle correspond a ce qu’on nomme en Algérie une « zella ». elle porte un manteau en laine beige et un pantalon grenat . le regard de hamid s’est immédiatement posé sur elle en montant dans le bus et il s’est assis a ses cotes, sait on jamais. Saisissons donc cet instant ou un prédateur jamais découragé s’en va chasser la dégoûtée gazelle dans un contexte malodorant( mais ouvrez cette foutue fenêtre !).

souhila : estarfir Allah !( en se retournant vers la fenêtre)
hamid : itidiante ?
souhila : oui( d’un air habitué et qui suggère :encore!)
hamid : ben aknoun ?
souhila: ( qui pense à une histoire à inventer) non ; Delly brahim.
Hamid : c’est bien Delly brahim, vous faites quoi ?
Souhila : commerce.
Hamid : tu es à la cité ? j’ai une cousine à la cité , elle fait espagnol, peut etre que tu la connais ,elle s’appelle fatiha, elle est blonde et elle porte le hidjab.
Souhila : non , écoute…
Hamid : la cité c’est difficile, surtout les filles , il faut faire attention. Mais toi tu as l’air d’une fille de bonne famille.
Souhila : merci.
Hamid : je m’appelle Hamid et toi ?
Souhila : s…sabira.
Hamid: tu habites hadjout?
Souhila : oui.
Hamid : moi aussi ! ( il habite sidi amar une petite bourgade dans les faubourgs de hadjout), de quel coté ? vers le lycée ?
Souhila : non l’hôpital ; écoute je suis fiancée(n’importe quoi !) et il n’aimerais pas que je parle avec des hommes dans le bus. Alors excuses moi.
Hamid : je vous dérange ? pardon. Je n’avais que de sérieuses intentions a votre égard ( c’est ça !)mais maalich. Pardon.
Souhila : c’est pas grave.

Elle se retourne sèchement vers la fenêtre. Et Hamid, en ruminant sa rage contre les jeunes riches en voiture qui lui piquent toutes les filles ramène la jambe qu’il avait laisse traîner vers lui. Il descend a tipasa. La saison n’est jamais finie.....

Bravoooooo!!!

Diablange et Chaklala...continuez SVP

Diablange a écrit:Zaama tu as tout lu ???
Prépare toi pour une interro surprise cette semaine ...

Khssara 3lik...wellah que j'ai tout lu...wellah que je mens pas...

Tard dans la nuit, tôt dans ma vie,
Impossible de dormir ;
L’appel de la feuille blanche et de la plume, je me mets à écrire, à vivre ?
Cher ami, je vous prie de bien vouloir me faire l’honneur de lire mon écrit fils de la nuit,
Cri d’une Algérienne qui aimerait que la liberté soit sienne.



Leur Algérie

Je rêve…
Je rêve d’un pays digne des milliers de vies sacrifiées pour lui
Je rêve d’un pays riant, souriant au lendemain et chantant l’hymne de l’espoir
Je rêve d’une Algérie dominante et non dominée
Je rêve d’une Algérie rayonnante rayonnant sur le monde
Cette dame d’Afrique je l’imagine tolérante, ambitieuse et véhémente envers toutes formes de fanatisme ou d’extrémisme
Je rêve de cette nébuleuse Africaine, où chaque Algérien penserait avant de parler, de juger, d’agir ou de partir, à nos pers morts souvent toturès parfois oublies, pour un pays qui s’appellerait liberté
Je rêve d’un pays démocratique ouvert à autrui, mon autre moi, où l’individualisme, l’incompétence et la soif de pouvoir ne seraient pas les compagnes du président et de son gouvernement
Je rêve d’une Algérie gouvernée, organisée et non utilisée et violée
Dans ce pays, le martyr de la renaissance algérienne Mohammed Boudiaf, serait président d’une véritable république Algérienne
Je rêve d’un pays où les journalistes seraient libères des barrières matérielles et immatérielles, où les fanatiques seraient emprisonnées et non l’inverse
Oh Algérie ! dans mon rêve les femmes ne se feraient pas traiter de putes pas des males à forte testosteronémie car n’ayant pas répondu à leurs avances
Dans mon Algérie une jeune fille serait respectée, libre de penser,libre de s’exprimer, libre de s’habiller comme elle l’entend sans penser aux dirs et pensées d’autrui, libre de respirer et de se sentir vivre sans couvre-feu à partir de 18h00
Le contexte social et économique n’obligerait pas des jeunes hommes à abandonner l’école pour une « table », mais s’efforcerait plutôt à leur inculquer des valeurs tel que la persevarance et le dépassement de soi
Je rêve d’un pays où chaque Algérien aurait, gavée sur son cœur et en tête l’expression : le désir de réussite e la volonté transcendent la fatalité
Mais je pleure dans ce pays où le sang coule encore sous la lame d’inhumains mecreans, sans que boutef le magnifique les condamnent, sans que le peuple ne se soulève
Ainsi, soeurs et frères, je rêve d’une Algérie libre
Une Algérie lumineuse
Une Algérie de droits
Une algueraie de transparence politique
Une Algérie de respect
Une Algérie de tolérance
Une Algérie de fanatisme
Une Algérie de franchise
Une Algérie d’amour
Une Algérie de culture
Une Algérie de demain
Une Algérie où l’on vit au lieu de vivoter
En somme, l’Algérie pour laquelle nos pères sont morts
C’est de leur Algérie que j’ai soif.
Et malgré la douleur, les difficultés, au-delà des multiples barrières je refuse d’abandonner, d’abdiquer et d’acquiescer.
C’est pour leur Algérie que je defenderai mon rêve.

P.S : Cher frère palestinien, irakien, libanais mon cœur saigne au son de tes pleurs.


Algerian dreamer.

ce n'est pas d'une algerie de fanatisme dont je reve-erreur de deconcentration-mais d'une algerie de clarté!