un maître architecte sur la chaise!!!!

Bou kestiou (faut comprendre bonne suggestion), à toi l'honneur Gringa pour nous designer le premier à passer.

on a été trés marqué par ce grand architecte tant critiqué, donc je propose le corbusier pour cette semaine

je commence alors avce une brève biographie

biographie de Le Corbusier
Extrait de : RONCHAMP, une chapelle de lumière"
texte de Christophe Cousin



Photo LIMOT Paris 1934


Biographie de Le Corbusier
Charles-Édouard Jeanneret naît à La-Chaux-de-Fonds dans le canton de Neuchâtel (en Suisse) le 6 octobre 1887. Il prend le pseudonyme de Le Corbusier en 1920 du nom d’un de ses ancêtres : Le Corbésier.

Élève studieux, il partage avec son père la passion des courses en montagne et le dessin. À 13 ans, il est inscrit à l’École d’Art de La-Chaux-de-Fonds, spécialisée dans les métiers de la décoration et de la gravure des montres. Son maître, Charles L’Eplattenier, joue un rôle décisif dans l’avenir du jeune Charles-Édouard qui se sent attiré par la peinture mais que L’Eplattenier pousse vers l’architecture. De son enseignement proche du courant naturaliste et de l’Art Nouveau, Le Corbusier garde un profond respect pour la nature. Charles-Édouard entre donc au cours supérieur d’art et de décoration créé en 1905 par L’Eplattenier qui enseigne l’architecture et la décoration. Pendant cette formation, il a l’occasion de réaliser sa première commande : la construction de la villa Fallet.

Il décide d’élargir ses connaissances en entreprenant avec son camarade Léon Perrin, en 1907, un voyage en Italie, recueillant ses souvenirs par des centaines de dessins et croquis. Après Florence, Ravenne, Bologne, Vérone, Padoue et Venise, il gagne Budapest et Vienne, traverse l’Allemagne et s’installe à Paris. Il y rencontre Frantz Jourdain, président du Salon d’Automne et architecte, qui emploie abondamment le fer et le verre dans ses constructions (magasins de la Samaritaine). Sa rencontre avec Tony Garnier, à Lyon, marque une étape avant sa visite chez Eugène Grasset, à Paris, qui le met en relation avec les frères Perret (pionniers de l’emploi du béton armé). Charles-Édouard est embauché dans l’agence Perret pendant quatorze mois (entre 1908 et 1909). Ce séjour lui fait découvrir toutes les possibilités offertes par le béton armé et la possibilité d’une nouvelle démarche de création architecturale. Il constitue une étape essentielle dans la formation de sa personnalité. Le Corbusier en profite pour compléter ses connaissances par la lecture d’ouvrages fondamentaux, fréquente la bibliothèque Sainte-Geneviève, la Bibliothèque Nationale, les musées.

En 1909, il rentre à La-Chaux-de-Fonds. L’école d’art lui confie une étude sur l’enseignement des métiers d’art en Allemagne. Il s’inscrit à Berlin dans l’agence de l’architecte Peter Behrens et rencontre Walter Gropius et Ludwig Mies Van der Rohe. À l’issue de son séjour en Allemagne, il entreprend, en 1911, un grand périple qui le conduit en Europe Centrale, en Grèce et en Italie. Ce " voyage d’Orient" provoque un choc, une révélation, un éblouissement dont le souvenir est consigné dans près de quatre-vingt carnets de croquis, constituant une somme d’impressions et de souvenirs que l’architecte utilisera tout au long de sa carrière. Il rentre à La Chaux-de-Fonds et y séjourne pendant cinq ans. Il en profite pour construire, en 1912, au Locle la villa Favre-Jacot puis, en 1916, la villa Schwob et la villa Jeanneret-Perret pour ses parents. Informé dès 1914 des premières destructions dans les Flandres provoquées par la guerre, il entreprend de créer un procédé de construction industrielle par éléments structurels combinables : le système domino. Il expose quelques aquarelles rapportées de son voyage d’Orient au Salon d’Automne.

Après avoir acquis une formation généraIe modeste, mais accumulant tout un savoir et profitant d’expériences et de rencontres fécondes, il s’installe définitivement à Paris, au 20 de la rue Jacob, où il reste jusqu’en 1934, avant d’emménager avec sa femme (Yvonne Gallis qu’il a épousée en 1930) rue Nungesser-et-Coli. Il ouvre, en 1924 sa propre agence d’architecture, 35 rue de Sèvres, après avoir tenté de créer différentes entreprises qui ne réussiront guère. La rencontre, en 1917, du peintre Amédée Ozenfant lui ouvre un autre horizon, celui de la peinture. Ozenfant fait découvrir le cubisme et le futurisme et lui fait partager sa fascination pour le machinisme de l’ère industrielle. Le Corbusier commence sérieusement à peindre et publie, avec son nouvel ami, en 1918, Après le cubisme. Ils désignent sous le terme de " Purisme " leur nouvel esthétisme marqué par la pureté, la simplicité et l’économie des moyens. Leurs recherches visent à atteindre l’harmonie et l’unité dans la construction de l’œuvre. En 1920, Amédée Ozenfant, Le Corbusier et le poète Paul Dermée fondent la revue L’Esprit nouveau qu’ils considèrent comme un moyen d’expression et un instrument de provocation. La revue cesse d’être éditée en 1925 au bout de vingt-huit numéros.

En 1923, Le Corbusier publie Vers une architecture, ouvrage qui marque profondément l’histoire de l’architecture moderne. En 1920, il élabore le premier projet d’une " maison Citrohan " - construction type économique favorisant une production en série - puis, en 1922, un projet d’"immeuble-villas", formule reprise plus tard dans " l’unité d’habitation " Il participe, en 1925, à l’Exposition internationale des Arts décoratifs, à Paris, avec son Pavillon de l’Esprit Nouveau, véritable manifeste d’architecture et d’art. Jusqu’en 1930 Le Corbusier multiplie les recherches en matière d’urbanisme, notion toute nouvelle qu’il va développer à plusieurs reprises : en 1922, le " plan pour une ville contemporaine de 3 millions d’habitants " et, en 1925, le " plan Voisin " élaboré pour la ville de Paris. S’il se considère comme l’inventeur d’un nouvel habitat social, il n’en demeure pas moins fidèle à une clientèle soucieuse d’art moderne et d’innovation architecturale : seize villas sont construites entre 1920 et 1931 pour des familles fortunées, des artistes ou des amateurs d’art. La plupart sont situées à l’ouest de Paris (Auteuil, Boulogne, La Celle-Saint-Cloud, Garches, Poissy).

Architecte, urbaniste. peintre, écrivain, Le Corbusier déploie une activité exceptionnelle et multiplie les rencontres, les expositions, les voyages (URSS en 1928, Brésil en 1929, USA en 1935) et les tournées de conférences. En 1923, il est chargé de concevoir des logements ouvriers pour un industriel bordelais à Lège et Pessac et construit, un an plus tard, " la Petite Maison ", modèle d’architecture minimale pour ses parents, à Corseaux, en bordure du lac Léman. En 1927 et en 1931, Le Corbusier est malheureusement évincé de deux grands projets : le palais de la Société des Nations à Genève, où il subit la cabale d’architectes académiques, et le palais des Soviets à Moscou, où il est éclipsé au profit d’un projet moins gigantesque et moins dépouillé. Ce premier échec est douloureusement ressenti par Le Corbusier qui proclame son indignation à plusieurs reprises.

Entre 1928 et 1930, Le Corbusier et son cousin Pierre Jeanneret réalisent, entre autres, le Pavillon suisse de la Cité universitaire, à Paris, et l’immeuble Clarté, à Genève. La construction d’un ensemble de logements au Weissenhof près de Stuttgart donne l’occasion à Le Corbusier de mettre en application les " 5 points d’une architecture nouvelle " (1- les pilotis, 2- le plan libre, 3- la fenêtre en longueur, 4- la façade libre, 5- le toit-jardin), produit de ses rencontres ou de ses expériences avec Peter Behrens, Frank Lloyd Wright, Walter Gropius et Ludwig Mies Van der Rohe.

La création de quelques villas particulières l’amène à s’intéresser au mobilier d’Eileen Gray et surtout de Charlotte Perriand (1903–1999). Cette dernière rejoint l’atelier de Le Corbusier dès 1928 et crée une gamme complète de meubles. C’est à partir de cette date que sont fondés les congrès internationaux d ‘ architecture moderne (C.l.A.M.) qui vont lui permettre d’assouvir son besoin d’échanges et de débats. De ces congrès naît La Charte d’Athènes, publiée en 1943, qui énonce un certain nombre de principes essentiels : habiter, cultiver le corps et l’esprit, travailler, circu1er, conserver le patrimoine historique.

Les bouleversements politiques de la seconde guerre mondiale forcent Le Corbusier à fermer son agence. Il en profite pour écrire, dessiner et peindre. En 1945, le gouvernement décide de lancer un programme d’immeubles sans affectation individuelle " afin de lutter contre la crise des logements consécutive aux récentes destructions. Il se voit confier par le ministère de la Reconstruction la réalisation d’un immeuble à Marseille. Le Corbusier saisit l’occasion de concrétiser les idées sur lesquelles il travaille depuis près de vingt-cinq ans et qui répondent à un quadruple objectif : conception d’un habitat, réalisation technique, recherche sociale et innovation urbanistique. Cette " unité d’habitation de grandeur conforme " sera terminée en 1952 après bien des péripéties et la succession de six ministres de la Reconstruction.

Par la suite, d’autres unités d’habitation seront construites : à Rezé-les-Nantes (1953-1955), à Briey-en-Forêt (1955-1958), à Firminy (1965-1967). Il réalise, à la demande d’un industriel de St-Dié des Vosges, l’usine Duvat entre 1946 et 1950, seul édifice rescapé du plan de reconstruction de la ville pour lequel il avait été sollicité. De 1951 à 1955 il construit les maisons Jaoul, à Neuilly-sur-Seine, qui associent la brique et le béton. En 1950, les premiers contacts sont pris pour convaincre Le Corbusier d’accepter la construction d’une chapelle de pèlerinage à Ronchamp. Cet édifice, terminé en juin 1955, reste une des réalisations les plus renommées de l’architecte.

Les dix dernières années sont marquées par les travaux réalisés en Inde pour la construction de Chandigarh, capitale du tout nouveau Pendjab né en 1947 d’un partage entre l’Inde et le Pakistan. En 1951, Le Corbusier entreprend l’étude du plan d’urbanisme et de la ville, rencontre Nehru et se verra chargé également de plusieurs autres projets pour Ahmedabad, importante ville historique à l’ouest de l’Inde. Le projet de Chandigarh lui donne l’occasion de réaliser pour la première fois une large composition monumentale: le Parlement, le palais de Justice et le Secrétariat. Parallèlement à ces grands travaux, il mène de front de multiples activités dans le domaine des arts plastiques, prêchant pour une " synthèse des arts ". Il entame une recherche picturale plus élaborée, aux formes complexes, aux couleurs denses, parfois violentes, s’associe au sculpteur Savina dans la réalisation de " sculptures acoustiques ", entreprend la création de grandes tapisseries. Il élabore une grille de mesures harmoniques - le modulor - qui donne son nom à un livre publié en 1950. L’ouvrage poétique accompagné de planches lithographiques, Le Poème de l’angle droit, édité en 1955, reprend quelques thèmes récurrents auxquels il est toujours resté fidèle.

En 1952, le chapitre provincial des dominicains de Lyon, sous l’impulsion du Père Couturier, propose à Le Corbusier d’édifier un monastère. Les études entreprises en 1953 permettent de débuter le chantier en 1956 ; l’achèvement des travaux en 1959 donne aux dominicains un lieu d’austérité propre à l’étude, à la méditation et à l’élévation de la pensée : le couvent Sainte-Marie-de-la-Tourette.

En 1955, Eugène Claudius-Petit, député de Firminy et ami fidèle de Le Corbusier, lui propose de construire l’ensemble le plus important qu’il ait jamais réalisé en France : un stade, une maison de la culture, une église et une unité d’habitation ; mais la mort de l’architecte survenue le 27 août 1965 ne permet pas au projet d’être totalement achevé. Le stade et l’unité d’habitation dont Le Corbusier avait étudié le projet seront terminés par ses fidèles collaborateurs (dont André Wogenscky); l’église stoppée à la suite de difficultés financières est en cours d’achèvement grâce aux travaux de José Oubrerie.

merci bcp gringa .... sujet tres interessant et biographie tres objective hey les 1eres copiez et collez vous en aurez certainement besoin et surtout gardez le nom de louvrage ....

TRES BONNE I D GRINGA çA SVOIS QUE T INSPIRée CETTE SEMAINE.
A MOI DJOUEZ :
SAVEZ VOUS QUE LA CHAPELLE DE RONCHAMP, UE CORBU EST INESPIRÉE DU TEMPLE DE SAIDI BRAHIM SITUÉ À LA COMMUNE DE EL-ATTEUF (TAJNINT), DANS LA WILAYA DE GHARDAIA ?

non je ne le savais pas moi, mais la forme est trés resemblante, c'est pas mal!!
tu nous en dira plus archifat, et j'attend encore plus d'intervention le corbu a marqué l'histoire de l'architecture a jamais



ps parlons d'inspiration j'en ai encore mais j'y vais molo pour ne pas bombardé le forum de mes idées!!!!!lololol

Savez vous que le Corbusier portait des lunettes XD non je rigole ! très bonne idée GrinGa ! je poseterai plus tard nchallah ! mais normalement on doit nommer un autre architecte on est le 16 khlaset la semaine ............ .....................

je ne suis pas d 'accord gifted, Corbu merite plus d'une semain

moi je pense k'au lieu de redire les trucs k'on connait déjà sur le personnage, je suggère de récité des anecdote ou des histoires k'on a lu ou entendu kelke part comme l'a fait archifat.

ce ki concerne le Corbusier:

il était athée

dans les débuts de sa carrière à Paris il était connu plutôt autant ke peintre

il faisait de la conception souvent nu ds son bureau lol (n'essayez pas de faire de même ça n'a rien a voire avec le génie )

il s'est inspiré de la maison kabyle pour dessiner les cellules de l'unité d'habitation (mezzanine)

il aimait la casbah d'Alger et Ghardaia (d 'ailleurs sont architecture ressemble un peu a celle de la casbah, formes simples ,cubique, blanches )

il était ami avec Picasso et Einstein (ki l'a félicité pour le modulor)

il n'avait pas une formation d'architecte (il était d'ailleurs anti-académique)

c'était l'architecte le plus médiatise au monde

il parait k'il ne s'est pas noyé accidentellement mais s est suicider (noyade voulu ) !!!

Des suspicions de collaboration avec le régime nazi pèsent sur lui.

pour ca bio juste quelque info
Charles-Édouard Jeanneret-Gris, who chose to be known as Le Corbusier (October 6, 1887 – August 27, 1965), was a Swiss-born architect, designer, urbanist, writer and also painter, who is famous for his contributions to what now is called Modern architecture. In his 30s he became a French citizen.

"Space and light and order. Those are the things that men need just as much as they need bread or a place to sleep."
(L'espace, la lumiere et l'ordre. C'est les choses que les humains ont besoin comme ils ont besoin de pain ou d'un lit pour dormir)...Corbu! ou Corb comme l'apelle engaza!

brahim amarouche a écrit:Des suspicions de collaboration avec le régime nazi pèsent sur lui.

oui, je crois k'il était contacté par le gouvernement de vichy pour kelkes projet!! ou peut être ke c'est lui ki a proposé ses services!! je me rappel plus

Il n,a pas chômer durant la guerre, ça c'est sûr

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