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gifted alchemist

Voyage en train

Je crois que les histoires d’amours c’est comme les voyages en trains, et quand je vois tous ces voyageurs, parfois j’aimerais en être un.
Pour quoi tu crois que tant de gens attendant sur le quai de la gare ?
Pour quoi tu crois qu’on flippe autant d’arriver en retard ?
Les trains démarre souvent quand on s’y attend le moins, et l’histoire d’amour t’emporte sous l’œil impuissant des témoins, les témoins sont tes potes qui te disent au revoir sur le quai et regarde le train s’éloigné avec un sourire inquiet toi aussi tu leur fait signe et tu imagine leurs commentaires, certains pensent que tu te plante et que t’as pas les pieds sur terre, chaque un y va sur les pronostiques, sur la duré du voyage pour la plus part le train va déraillé des le premier orage.
Le grand amour change forcément ton comportement .
Des le premier jours faut bien choisir ton compartiment siège couloir ou contre la vitre ?il faut trouver le bonne place, tu choisi quoi une love story de première ou seconde classe ?
Dans les premiers jours tu n’a de yeux que pour son visage tu calcules pas derrière le fenêtre le défilé des paysages.
Tu te sens vivant, tu te sens léger et tu ne vois pas passé l’heure t’es tellement bien que t’as presque envie d’embrasser le contrôleur mais la magie ne dure qu’un temps et ton histoire bat de l’aille….


ce n'est pas de moi mais j'aime bien donc je vs l fais partagéet si vs en voulé + cherché grand corps malade

j'avais faim et vous faisiez le tour de la Lune
j'avais faim et vous m'avez dit d'attendre
j'avais faim et vous avez créer une commission
j'avais faim et vous parliez d'autre chose
j'avais faim
et vous m'avez dit:
" il n'y a pas de raison"
j'avais faim
et vous aviez des factures de napalms à payer
j'avais faim et vous m'avez dit:
" Maintenant des machines font ce genre de travail"
j'avais faim et vous avez dit:
" la loi et l'ordre avant tout"
j'avais faim et vous avez dit:
"il y'a toujours des pauvres"
j'avais faim et vous avez dit :
"c'est la faute des communistes"
j'avais faim et vous avez dit:
" Mes ancetres avaient faim aussi"
j'avais faim et vous avez dit:
"après trente-cinque ans on n'embauche plus"
j'avais faim et vous avez dit:
"Dieu leur vienne en aide"
j'avais faim et vous avez dit:
" désolé, repassez demain"

Anonyme

.

Nous sourions du dedans.
Ce sourire nous le cachons maintenant.
Illégal , le sourire
- comme illégal est devenu le soleil,
illégale la vérité
Nous cachons notre sourire comme nous cachons
dans notre poche la photo de notre bien-aimée
comme nous cachons l'idée de la liberté dans les plis de notre coeur.
Tous, ici bas, nous avons un seul ciel et le même sourire .
Demain, peut être prendront-ils nos vies.
Ce sourire et ce ciel, ils ne peuvent pas nous le prendre.

Yannis Ritsos

La nuit n'est jamais complete
il y a tjrs puisque je le dit
puisque je l'afirme
au bout du chagrin une fenetre ouverte
une fenetre eclairée
il y a tjrs un reve qui veille
desir a comlber faim a satisfaire
un coeur genereux
une main tendue
une main ouverte
des yeux attentif
une vie , LA vie a partger

Paul Eluard

Quand nuit vient , et que noire pénnombre dissipe la vie
De son manteau , chaste chale , mes pensées se libérent
Et vagabondent , maraudes telles d'indiciples vipéres
L'ombre de son venin chasse le marteau de l'ennui


Quand nuit vient , se souléve mon ame
Ou plutot se léve , car de jour endormie
Par l'incessant fracas , tumulte et vacarme
progrés pour cerains , pour moi hystérie


Nuit
Absence ephémére de lumiére
Dont se rejouit mon esprit
Abysse , puit de chiméres


Mais surgissent soudain les demons du passé
Et la mon etre fulmine de desirs
D'âpres regrets ternissent souvenirs
Que je garde en moi , tels livres sacrés


ben c de moi

Je veux t'aimer sans m'agripper,
t'apprécier sans te juger,
te rejoindre sans t'envahir,
t'inviter sans insistance,
te laisser sans culpabilité,
te critiquer sans te blâmer,
t'aider sans te diminuer.
Si tu veux bien m'accorder la même chose, alors nous pourrons vraiment nous rencontrer et nous enrichir l'un l'autre.

V. Satir

cool chaz
l'amour survit au revers de nos armes
linceul d'amour a minuit se decoud
les diaments naissent au fond des larmes
l'avril encore eclairé l'epoqueou
s'etend sur nous cette ombre au pieds d'argile
jeunesse peut rever la corde au coup
elle oublia charles quint pour virgile
les temps troublés se ressemblent bcp
aragon

c'est une aventure
coeur de mon bien
votre coeur en dur
feu pareil au mien
car quand allegeance
viendera me guerrir
sous votre puissance
veut vivre et mourir

Alexandre Dumas

encore de moi


je ne joue plus , depuis bien longtemps
c'est pour de vrai , ce que je ressens
de ne pouvoir etre dans ses bras si blancs
de ne pouvoir caresser son ventre brulant

et ses levres dont je me saoulait
me parlent de loin , me parlent seulement
de patience , de courage et je m'en fous tellement
car le temps qui passe me consume doucement

comment peut on vivre avec juste de l'espoir
qu'on fait revivre au bout d'un fil chaque nuit
comment peut on vivre et broyer du noir
rever eveillé pour tromper l'ennui




mais celui la reste mon préféré!!




un vent dans la nuit , solitaire , immense et intouchable
vent de folie , vent fou , ou vent tout court
un vent imaginaire , de contes de fée , ou de fables
un vent si beau , si triste , vent de haine et d'amour

ciel noir , ciel négre , menaçant et impityable
ciel au bal , masqué , voilé de detours
ciel de sorcier ,ciel d'afrique , fuyant tel du sable
ciel de fer.................. couleur de velours

torrent dechainé , mortel et vital
battante est la pluie allaitant la riviére
ou coulent mes pensées sans dieu ni priéres
dans cette tempéte , cet univers dans ma téte
il n'y a de repit que dans les souvenirs d'hier
et je songe............

ch@z a écrit:encore de moi


je ne joue plus , depuis bien longtemps
c'est pour de vrai , ce que je ressens
de ne pouvoir etre dans ses bras si blancs
de ne pouvoir caresser son ventre brulant

et ses levres dont je me saoulait
me parlent de loin , me parlent seulement
de patience , de courage et je m'en fous tellement
car le temps qui passe me consume doucement

comment peut on vivre avec juste de l'espoir
qu'on fait revivre au bout d'un fil chaque nuit
comment peut on vivre et broyer du noir
rever eveillé pour tromper l'ennui

franchement wawou, g rien a ajouter

iris a écrit:

ch@z a écrit:encore de moi


je ne joue plus , depuis bien longtemps
c'est pour de vrai , ce que je ressens
de ne pouvoir etre dans ses bras si blancs
de ne pouvoir caresser son ventre brulant

et ses levres dont je me saoulait
me parlent de loin , me parlent seulement
de patience , de courage et je m'en fous tellement
car le temps qui passe me consume doucement

comment peut on vivre avec juste de l'espoir
qu'on fait revivre au bout d'un fil chaque nuit
comment peut on vivre et broyer du noir
rever eveillé pour tromper l'ennui

franchement wawou, g rien a ajouter

merci je l'ai ecris dans un moment de grande deteresse

je dis pareil..... la on a un vrai poete

chaque matin la rosée accable les tulipes, les roses, le jacinthes é les tulipes mais le soleil les delivre de leur brillant fardeau. chaque matin mon coeur et plus lourd mais ton regard le libere
khayyam

le detresse est acoucheuse d'inspiration, on ecris rien quand on est heureux on et trop ocupé a le vivre

Aimer, c'est risquer le rejet.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer le désespoir.
Essayer, c'est risquer l'échec.
Risquer est une nécessité. Le plus grand des dangers, c'est de ne pas risquer.
D'être enchaîné dans ses certitudes comme un esclave.
Seul celui qui ose risquer est vraiment libre !"

ch@z a écrit:encore de moi


je ne joue plus , depuis bien longtemps
c'est pour de vrai , ce que je ressens
de ne pouvoir etre dans ses bras si blancs
de ne pouvoir caresser son ventre brulant

et ses levres dont je me saoulait
me parlent de loin , me parlent seulement
de patience , de courage et je m'en fous tellement
car le temps qui passe me consume doucement

comment peut on vivre avec juste de l'espoir
qu'on fait revivre au bout d'un fil chaque nuit
comment peut on vivre et broyer du noir
rever eveillé pour tromper l'ennui




mais celui la reste mon préféré!!




un vent dans la nuit , solitaire , immense et intouchable
vent de folie , vent fou , ou vent tout court
un vent imaginaire , de contes de fée , ou de fables
un vent si beau , si triste , vent de haine et d'amour

ciel noir , ciel négre , menaçant et impityable
ciel au bal , masqué , voilé de detours
ciel de sorcier ,ciel d'afrique , fuyant tel du sable
ciel de fer.................. couleur de velours

torrent dechainé , mortel et vital
battante est la pluie allaitant la riviére
ou coulent mes pensées sans dieu ni priéres
dans cette tempéte , cet univers dans ma téte
il n'y a de repit que dans les souvenirs d'hier
et je songe............

Je suis fan

Quand ils sont venus
chercher les communistes
je n'ai rien dit
je n'était pas communiste

Quand ils sont venus
chercher les syndicalistes
je n'ai rien dit
je n'était pas syndicalistes

Quand ils sont venus
chercher les juifs
je n'ai rien dit
je n'était pas juif

Quand ils sont venus
chercher les catholiques
je n'ai rien dit
je n'était pas catholique

Puis ils sont venus me chercher
et il n'e restait plus personne
pour dire quelque chose


Louis Needermeyer

Quiconque trouve du plaisir à marcher en rangs serrés
au son de la musique est pour moi, d'emblée, un objet
de mépris;il n'a reçu son cerveau que par mégarde
puisque la moelle épinière lui aurait amplement suffit.
Cette honte de la civilisation devrait être suprimée
aussi vite que possible.Héroisme sur commande, violence insencée, chauvinisme pénible, comme je l'ai hais hardemment, comme la guerre me parait basse et méprisable; je préfererais me laisser couper en mmorceaux que de participer à des agissements aussi méprisables.


Albert Einstein

voila un poeme qui apprend bcp de chose de la nature humaine
c un poeme que je connais par coeur

LE VOYAGE

pour l'enfant a moureux de catres et d'estampes
l'univers est egale a son vaste apétit
ah que le monde est grand a la clarté des lampes
aux yeux des souvenirs que le monde est petit

un matin nous partions le cerveau plein deflamme
le coeur plein de rancune et de désir amere
et nous partion suivant le ritme de la lamme
becant notre infini, sur l'infini des mer

les uns fier de fuire une patrie infamme
d'autres l'horeur de leurs berceau et quelques uns
astrologue noyé dans les yeux d'une femme
la cyrée tyranique aux dangereux parfaim

pour ne pas changé en bete il s'envire
de mer et de soleil et de cieux embrasé
la glace qui les mords, le soleil qui les cuivre
efface tout longtement la marque des baisers

notre ame est un trois mats cherchant son icarie
une voix rententi sur le pont ouvre l'oeuil
une voix de la haine ardente et folle
amour gloire, bonheur, enfer c un écueil

oh le pauvre amoureux des pays chimériques
faut ils le mettre au fer, l'envoyé a la mer
ce matelot ivrogne inventeur d'amérique
dont le reve rend le gouffre plus amer
.....................................................................
nous immition horreurs la toupie et la boule
dans leurs valses et leurs bonds,meme dans nos sommeils
la curiosité nous tourmente et nous roule
comme un ange cruel qui fouette des soleils

le deserteur

Monsieur le président
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps

Je viens de recevoir
Mes papiers militaires
Pour partir à la guerre
Avant mercredi soir

Monsieur le président
Je ne veux pas la faire
Je ne suis pas sur terre
Pour tuer des pauvres gens

C'est pas pour vous fâcher
Il faut que je vous dise
Ma décision est prise
Je m'en vais déserter

Depuis que je suis né
J'ai vu mourir mon père
J'ai vu partir mes frères
Et pleurer mes enfants

Ma mère a tant souffert
Elle est dedans sa tombe
Et se moque des bombes
Et se moque des vers

Quand j'étais prisonnier
On m'a volé ma femme
On m'a volé mon âme
Et tout mon cher passé

Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des années mortes
J'irai sur les chemins

Je mendierai ma vie
Sur les routes de France
De Bretagne en Provence
Et je dirai aux gens:

« Refusez d'obéir
Refusez de la faire
N'allez pas à la guerre
Refusez de partir »

S'il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
Vous êtes bon apôtre
Monsieur le président

Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n'aurai pas d'armes
Et qu'ils pourront tirer


boris vian

c de serge regianni

Qu'il est vil, ce coeur qui ne sait pas aimer, qui ne peut s'enivrer d'amour
Si tu n'aimes pas, comment peux-tu apprécier l'aveuglante lumière du soleil et la douce clarté de la lune?

Omar Khayyam