L'avortement!!

L'avortement est interdit en Algérie, sauf pour des cas de "nécessité absolue" (viol, inceste, mise en danger de la vie ou de l'équilibre physiologique).

80 femmes ont perdu la vie suite à des IVG clandestines en Algérie et 7.800 dans le monde.

La loi et la charia interdisent l’avortement sauf dans des cas précis.
Un avortement clandestin provoqué coûte entre 70.000 et 90.000 DA.

Chaque année 46.000.000 avortements sont recensés dans le monde et 5.000 enfants naissent hors mariage.

L’avortement ou une autre façon d’expulser l’embryon ou le fœtus avant 180 jours de la grossesse est devenu en l’espace de quelques années un phénomène social au niveau mondial mais aussi en Algérie. L’avortement qui n’est pas du tout cerné reste, de l’avis des spécialistes, tabou.

Le nombre de cas traités par la justice algérienne et ceux déclarés ne reflètent en aucun cas la réalité de la situation d’autant plus que l’avortement se fait de manière clandestine. Aujourd’hui, sur environ 46 millions d’avortements pratiqués chaque année dans le monde, plus de 20 millions sont illégaux, par conséquent réalisés dans des conditions sanitaires précaires et souvent par des personnes non qualifiées du point de vue médical. Ces interventions provoquent le décès de 7.800 femmes chaque année.

En Algérie, la situation est devenue plus que jamais préoccupante. Chaque semaine les unités de la gendarmerie et les services de la sûreté nationale découvrent des nouveau-nés sans vie abandonnés dans des décharges publiques, dans des rues, dans des draps ainsi que dans des couffins. Les services de la police judiciaire des deux corps ont traité l’année écoulée 40 cas d’avortement à travers l’ensemble du territoire national.

Ce chiffre en réalité n’est que la partie visible de l’iceberg car selon les services de santé et les hôpitaux, il y a eu pas moins de 80 décès suite à des avortements effectués chez des femmes ou de faux médecins et cela uniquement dans la wilaya d’Alger. Des recherches approfondies et le recueillement des statistiques en sus de la déclaration en cas d’avortement révéleraient des chiffres énormes.

La croissance de l’avortement clandestin est due très certainement à la remontée vertigineuse du nombre des agressions sexuelles, les viols, les incestes, les attentats à la pudeur. A titre d’exemple, l’année dernière il a été enregistré chez la police 326 viols tandis que chez les gendarmes 122 cas ont été traités durant les 9 premiers mois de l’exercice précédent. Ces chiffres expliquent la hausse des cas d’avortement en Algérie.

Même les femmes mariées qui ne désirent pas garder leurs bébés recourent très souvent à l’avortement. Il est difficile de détecter un cas d’avortement. Sa détection se fait une fois que la femme victime de complications dues à l’opération ou d’une hémorragie aiguë.

Les raisons d’un avortement
Toute une série de problèmes, et non quelques facteurs isolés, sont à l’origine des conflits générés par une grossesse non désirée. Le sens des responsabilités envers un futur enfant est capital. Une grande importance est accordée à la solidité du couple et de la famille. Une relation fragile, des doutes quant à l’aptitude à élever un enfant, la peur de l’avenir, le surmenage créé par la multiplicité des tâches à accomplir, le respect des sentiments du partenaire figurent parmi les raisons de cet acte.

Pour ce qui est des raisons les plus fréquemment invoquées pour une interruption de grossesse, on relève une mauvaise relation de couple et l’incompatibilité de la formation ou de l’exercice d’une profession avec un enfant. Une situation financière grave, un obstacle à la réalisation du désir d’enfant, une femme victime d’un viol ou d’un inceste figurent également au tableau.

Souvent les femmes qui envisagent une IVG sont exposées à toute sorte de contraintes : le partenaire leur demande d’avorter et les abandonne, la relation est rompue, les parents ne veulent pas entendre parler d’un petit enfant illégitime, les soucis financiers s’accumulent, etc.

Ceci ne signifie cependant pas que la femme se décide pour une IVG uniquement sous la pression de l’entourage, indépendamment de sa propre volonté. Dans son propre intérêt et celui d’un futur enfant, elle

prendra en considération tous ces paramètres. Les contraintes ne disparaissent pas avec la naissance de l’enfant et elle devrait continuer à vivre avec elles.

Plusieurs études montrent que peu de femmes subissent une IVG uniquement parce qu’elles ont succombé à de fortes pressions de leur entourage.

En Algérie, l’IVG a connu une hausse conséquente dans le milieu des cités universitaires de filles, les adolescentes mais aussi dans les villages et pas uniquement au niveau de la capitale.

L’année dernière, les services de la police judiciaire ont réussi à démanteler un réseau spécialisé dans l’avortement composé de 10 éléments dont une femme qui jouait le rôle d’intermédiaire entre les femmes, le médecin chirurgien et les infirmiers impliqués.




à vos claviers dites nous ce que vous pensez de tout ça.

l'avortement est doit être utilisé dans les cas extremes
il faudrait plutot miser sur la prévention

meme dans els cas extremes les femmes sont jugées.Il faut ke ça soit presenté comme un acte médical plutot ke moral ou judiciaire

mai c horrible ce que les femmes peuvent faire...je sai que dans certain cas ils ont oubligé mais ça leur donne pas le doit de faire ça...tué 1 bébé alors que plusieurs couples réve d'en avoir...il y a rien a dire

alors!!moi j'ai connu deux femmes proches de moi qui ont voulu avorter !!mais les deux n'ont pas réussi!!
donc la première avait trois enfants!et son mari n'en voulait pas plus puisque il n'était pas très stable financièrement!!mais la pilule que prenait la femme lui causait des problèmes de santé!alors elle la prenait chaque deux jours!!elle est donc tombée enceinte!!et le mari bien sur n'était pas du tout contant !! alors les portent commençaient à claquer très fort! et les disputent n'arrêtaient pas!!comme la femme n'en pouvait plus, elle a décidé d'avorter!elle sautais depuis la table de la salle à manger!elle portait des trucs lourds!mais le bébé était resté bien accroché !après la naissance le papa est redevenu normal!!ils ont eu une jolie petite fille!!!
la deuxième c'est une tante!!elle avait des problèmes de santé!physiques et psychiques !!elle avait déjà 5 enfants!dont 2 qu'elle n'avait pas désiré!et donc elle est tombée enceinte d'un 6ème enfant!!
pour celle là son mari avait assez bien digéré la nouvelle!d'autant plus qu'il était un peu responsable puisque il ne voulais pas la prendre chez le médecin pour qu'elle fasse un stérilet ou un autre truc pour ne plus prendre de risques!
le mari a accepté qu'elle se fasse avorter chez un médecin !!il lui a fait trois injections ça leur a couté trois ou 5 millions !!je ne m'en souviens pas bien!!!elle portait des trucs lourds!!elle n'arrêtait pas de sauter!!mais le bébé ne voulait pas quitter le nid douillet de sa maman pour s'écraser par terre!! c cruel!!
après que la petite a eu trois mois ma mère la prise en charge jusqu'au dixième mois!!puis ses parents l'ont reprise!!dure dure la séparation!!
maintenant elle s'est habituée à ses parents mais elle appelle mes deux tantes plus ma mère "mama" trois mamans plus deux papa c beaucoup!!
moi ce dont j'ai peur c que ça lui cause des problèmes de personnalité quand elle va grandir!!!
moi j'étais un peu d'accord pour qu'elle avorte!!par ce que non seulement elle ne pouvait pas l'élever!!en plus rien que l'idée d'avoir un autre enfant aggravais son état psychique!!
mais quand je vois la petite maintenant qu'elle est née...!!!
là je ne me sent plus en mesure de juger !!!c une décision difficile à la quelle il faut bien réfléchir avant de prendre une décision!!et bien sur le soutien de l'entourage est très important dans ce genre de situations!

eh bien vos témoignages sont assez émouvant, je sais seulement que c'est dur pour une femme cette épreuve qu'elle soit soutenu ou pas c'est elle qui la subit , aprés les raisons peuvent être différentes.
notre ami qui parlait d'avortement pour risque de trisomie, je peu te dire que ma soeur les médecins été formel qu'elle aurait un enfant trissomique, et elle a refuser l'avortement; je vous assure j'ai une nièce adorable tres studieuse, et intelligente, en plus trés sage. alors il faut réfléhir a des milliers de fois avant de le faire et l'imam a raison de dire qu'il faut être patient, même les enfants trisomique, nous ont dis qu'ils souffrent, que leur familles souffre mais c'est un ibtila3 de chez allah, alors la patience sera récompensé on peu se dire qu'il nous aiment parcequ'il nou offre le moyen de faire du bien tout les jours. j'ai vécu quatres années comme ça avce ma grand mère quand elle est devenue entièrement dépendante, le regard de reconnaissance je vous le jure faisait passer tous nos éfforts pour l'entretenir.

quand aux femmes violé ou victimes d'inceste , ce n'est que justice de se faire avorter imaginé vous comme enfant non désiré d'un viol psychologiquement on est condané a l'enfer sur terre voir pire. j'ai été marqué par le film rachida ou une jeunne fille avait échappé aux térroristes et revenue mais enceinte chez ses parents, le père c'est comporté comme une brute et a rejeté sa fille qui été deja victime, l'injustice du père été une deuxième mort plus trajique que l'enlèvement et les sévices qu'elle a vécu, nous avons tous vu cette fille a la télé qui avait raocnter ce que les téros lui ont fait en captivité, c'est une personne détruite, à ce moment la cette femme avait tout les droit de se faire avorté et d'arrêter sa grocesse même au dela des 4 mois.
il y a beaucoup de femmes qui souffrent de cette injustice de ne pouvoir commandé son corps alors que la loi et la chaaria le permet (biensure dans les cas dejas sité)
parcontre pour les universitaires , la précaution reste de rigeur elle n'ont qu'a se faire préscrire des pillules ou carément un stérilet, enfin les moyens existe et sont multiples donc franchement elle ne devrait pas laisser ses choses se passer, et l'abstinance serais le meilleur préservatif.
j'ai une question des femmes peuvent -elle se faire admetre anonymement pour un avortement puisque nous savons tous que c'est tabou chez nous , les medecins doivent être tenu par le secrét professionel et protégé ses femmes violé, et victimes. j'aimerais bien savoir si une femme arrive à l'hopital violé un test de grocesse est pratiqué de suite et une pilule du lendemain existe elle devarit être dispo en pharmacie sans ordonance pour éviter tout ça NON?????
allah yestore djami3 el mouslimates et el mouslimine de ce malheur.