Fight club
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chaklala girl
Oeil De Flamme
Van Der Rost
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Fight club
Un film de David Fincher avec Edward Norton (le narrateur), Brad Pitt (Tyler Durden), Helena Bonham Carter (Marla Singer), Meat Loaf Aday (Robert Paulsen), Jared Leto (Angel Face)
" Nous sommes les enfants oubliés de l'histoire, nous n'avons pas eu de grande guerre ni de grande crise. Notre guerre est spirituelle. La grande crise c'est nos existences ."
" Tu as une classe entière de jeunes hommes et femmes forts et solides, et ils veulent donner leur vie pour quelque chose. La publicité les fait tous courir après des voitures et des vêtements dont ils n'ont pas besoin. Des générations entières travaillent dans des métiers qu'ils haïssent, uniquement pour qu'ils puissent acheter ce dont ils n'ont pas vraiment besoin. "
Tyler Durden leader charismatique du Fight Club
Fight Club est assurément le véritable choc cinématographique de ces dernières années. Que dis-je ? Un véritable séisme ! Bouleversant , corrosif, dérangeant, subversif voire dangereux ! Les média du système ne s'y sont pas trompés. Presque tous (Les Inrocks, Le Monde, Libé Télérama) ont été étrangement unanimes pour descendre ce film. Qu'Internet joue un rôle essentiel dans la formation de l'engouement qui entoure ce film est plutôt positif. Jamais un film n'avait aussi bien dépeint les maux de notre société. Ce film bouscule toutes les conventions du cinéma tant sur le plan de la narration qu'au niveau de la technique ( photo, éclairage). Même la bande son composée par des DJ's, les Dust Brothers est superbement bien adaptée et particulièrement l'apothéose final qui se termine dans un déluge hallucinant de guitares jouées par Frank Black où le chaos devient sublime.
Le narrateur de cette histoire interprétée par Edward Norton est un jeune cadre travaillant chez un constructeur automobile. Son travail consiste à répertorier des éventuelles erreurs de fabrication pouvant provoquer un accident. Il voyage d'aéroport en aéroport, de carcasses de voitures en carcasses de voitures. Sa seule passion est son appartement meublé " Ikéa " dont il dévore les catalogues. La présentation panoramique de l'appartement généré par ordinateur montrant les salles vides rapidement rempli, élément par l'élément, par des meubles de catalogue d'Ikea est délicieusement pittoresque. Le besoin angoissé d'acheter " représente la forme aiguë de cette frustation du consommateur "Encyclopédie des nuisances. Ainsi la société d'abondance qui était censée satisfaire tous les besoins ne lui procure pas le bonheur. Il lui manque quelque chose.
Il faut à l'homme une raison de vivre.
Pierre Legendre
Sa vie est monotone, sans passion et sans rêves au point de souhaiter qu'il lui arrive n'importe quoi même un crash d'avion. Pour se soulager de ses insomnies le narrateur tombe dans le monde des gens aussi désorientés que lui et dont leurs étranges maladies empêchent de s'intégrer à la société. Il trouve son réconfort avec ces personnes qui souffrent beaucoup plus que lui. Ces insomnies reprennent lorsqu'il rencontre la séduisante sadomasochiste et dépressive créature qu'est Marla (Helena Bonham Carter) une autre "touriste" se nourrissant aussi de la souffrance des autres.
Sa rencontre avec le charismatique et cynique Tyler Durden va bouleverser sa vision du monde. Norton va être vite rattrapé par les étonnantes théories philosophiques de Tyler : " La douleur est la vérité, l'unique vérité."
Et ce qui commence comme une bagarre entre deux amis pour " sentir la douleur " va aboutir à une organisation terroriste visant la destruction de la société de consommation.
Ce qui est très intéressant (et dérangeant) avec ce film , ce sont les idées qui s'y dégagent. Avec Seven, ( bizarrement déprogrammée en dernière minute de TF1 au mois de novembre) le réalisateur David Fincher avait déjà abordé le thème de la ville déshumanisante et avait jeté un constat profondément pessimiste sur la société urbaine. Mais avec Fight Club, il va beaucoup plus loin. Son ambiguïté est en même temps préoccupant, mais, c'est avec cela que ce film tire toute sa puissance. Fincher s'interroge sur le sens de la vie, le chemin que nous prenons, quel genre d'homme nous voulons être. Il réveille nos instincts animaux qui sommeillent en chaque homme : des instincts réprimés et étouffées dans notre société technologique et terriblement automatisée. Dans cette société froide, ce nouvel ordre industriel ne peut qu'enfanter des êtres violents.
Ainsi Fincher essaye de nous montrer d'où vient cette violence. La scène la plus violente est le moment où le narrateur frappe, cogne et martèle le visage d'un autre combattant (Jared Leto) jusqu'à sa perte de connaissance. Tyler se demande pourquoi , "j'ai voulu détruire quelque chose de beau." lui répond Edward Norton.
La violence ne peut être uniquement contenue dans le Fight Club. Elle provoque une dépendance. Fincher nous montre ce qui la rend attrayante. Il fait dire à Tyler dans une de ces nombreuses tirades philosophiques : " Nous sommes les enfants de l'histoire, élevés par la télévision dans la conviction qu'un jour nous serons millionnaires, vedettes de cinéma, stars de rock, mais cela ne se fera pas " Dans cette société , beaucoup de personnes se sentent impuissantes, incapables de changer leurs vies. Ils n'ont plus d'espoir. La violence est une façon d'exercer au moins un petit contrôle sur autrui, ne fût-ce que pendant un temps très bref.
La violence est parfois l'expression de ceux qu'on asphyxie : ils ont tout simplement la prétention de respirer.
Irénée D. Lastelle
Ce film est-il anarchiste, fasciste ou nihiliste ? Il est sans doute un peu de tout cela à la fois. Ce qui est certain c'est que de nombreux monologues philosophiques de Durden sont profondément nietzschéen tel que " Ce n'est qu'après avoir tout perdu qu'on est libre de faire ce que l'on veut .
Certains ont prétendu que ce film était d'inspiration anarchiste. Je crois qu'on a oublié que l'anarchie est d'abord un projet de société libre et égalitaire où l'état sera remplacé par une démocratie directe. Bien sur, dans ce film des idées anarchistes sous-jacentes sont présentes. Il y a même une scène où des slogans publicitaires sont légèrement détournés. Le détournement ou plutôt le retournement de publicité ont été beaucoup utilisé par les situationnistes pour démystifier le mensonge marchand. Mais de nos jours tout le monde se prétend situationniste. Même nos ennemis !
Certes le fascisme y est aussi présent mais ce n'est pas un fascisme au sens où on l'entend actuellement. Cela pourrait plutôt être ce premier fascisme, ce fascisme révolutionnaire, ce " fascisme-mouvement" selon la formule de Renzo de Felice.
Mais c'est avant tout un film nihiliste . Un nihilisme comme l'a perçu Heidegger "Le nihilisme est le mouvement universel des peuples de la terre englouti dans la sphère de puissance des temps modernes. " Norton et Durden ont une indifférence à la vie qui est la marque universel du nihilisme.
Fight Club est une expérience inoubliable qui probablement (et malheureusement) devient de plus en plus prophétique avec le temps. En montrant l'impasse de cette société dans ce film fin de siècle Fincher nous propose d'aller au delà du nihilisme, d'aller vers un nihilisme actif déjà visible chez Nietzche, d'inventer un nouvel homme.
" Nous sommes les enfants oubliés de l'histoire, nous n'avons pas eu de grande guerre ni de grande crise. Notre guerre est spirituelle. La grande crise c'est nos existences ."
" Tu as une classe entière de jeunes hommes et femmes forts et solides, et ils veulent donner leur vie pour quelque chose. La publicité les fait tous courir après des voitures et des vêtements dont ils n'ont pas besoin. Des générations entières travaillent dans des métiers qu'ils haïssent, uniquement pour qu'ils puissent acheter ce dont ils n'ont pas vraiment besoin. "
Tyler Durden leader charismatique du Fight Club
Fight Club est assurément le véritable choc cinématographique de ces dernières années. Que dis-je ? Un véritable séisme ! Bouleversant , corrosif, dérangeant, subversif voire dangereux ! Les média du système ne s'y sont pas trompés. Presque tous (Les Inrocks, Le Monde, Libé Télérama) ont été étrangement unanimes pour descendre ce film. Qu'Internet joue un rôle essentiel dans la formation de l'engouement qui entoure ce film est plutôt positif. Jamais un film n'avait aussi bien dépeint les maux de notre société. Ce film bouscule toutes les conventions du cinéma tant sur le plan de la narration qu'au niveau de la technique ( photo, éclairage). Même la bande son composée par des DJ's, les Dust Brothers est superbement bien adaptée et particulièrement l'apothéose final qui se termine dans un déluge hallucinant de guitares jouées par Frank Black où le chaos devient sublime.
Le narrateur de cette histoire interprétée par Edward Norton est un jeune cadre travaillant chez un constructeur automobile. Son travail consiste à répertorier des éventuelles erreurs de fabrication pouvant provoquer un accident. Il voyage d'aéroport en aéroport, de carcasses de voitures en carcasses de voitures. Sa seule passion est son appartement meublé " Ikéa " dont il dévore les catalogues. La présentation panoramique de l'appartement généré par ordinateur montrant les salles vides rapidement rempli, élément par l'élément, par des meubles de catalogue d'Ikea est délicieusement pittoresque. Le besoin angoissé d'acheter " représente la forme aiguë de cette frustation du consommateur "Encyclopédie des nuisances. Ainsi la société d'abondance qui était censée satisfaire tous les besoins ne lui procure pas le bonheur. Il lui manque quelque chose.
Il faut à l'homme une raison de vivre.
Pierre Legendre
Sa vie est monotone, sans passion et sans rêves au point de souhaiter qu'il lui arrive n'importe quoi même un crash d'avion. Pour se soulager de ses insomnies le narrateur tombe dans le monde des gens aussi désorientés que lui et dont leurs étranges maladies empêchent de s'intégrer à la société. Il trouve son réconfort avec ces personnes qui souffrent beaucoup plus que lui. Ces insomnies reprennent lorsqu'il rencontre la séduisante sadomasochiste et dépressive créature qu'est Marla (Helena Bonham Carter) une autre "touriste" se nourrissant aussi de la souffrance des autres.
Sa rencontre avec le charismatique et cynique Tyler Durden va bouleverser sa vision du monde. Norton va être vite rattrapé par les étonnantes théories philosophiques de Tyler : " La douleur est la vérité, l'unique vérité."
Et ce qui commence comme une bagarre entre deux amis pour " sentir la douleur " va aboutir à une organisation terroriste visant la destruction de la société de consommation.
Ce qui est très intéressant (et dérangeant) avec ce film , ce sont les idées qui s'y dégagent. Avec Seven, ( bizarrement déprogrammée en dernière minute de TF1 au mois de novembre) le réalisateur David Fincher avait déjà abordé le thème de la ville déshumanisante et avait jeté un constat profondément pessimiste sur la société urbaine. Mais avec Fight Club, il va beaucoup plus loin. Son ambiguïté est en même temps préoccupant, mais, c'est avec cela que ce film tire toute sa puissance. Fincher s'interroge sur le sens de la vie, le chemin que nous prenons, quel genre d'homme nous voulons être. Il réveille nos instincts animaux qui sommeillent en chaque homme : des instincts réprimés et étouffées dans notre société technologique et terriblement automatisée. Dans cette société froide, ce nouvel ordre industriel ne peut qu'enfanter des êtres violents.
Ainsi Fincher essaye de nous montrer d'où vient cette violence. La scène la plus violente est le moment où le narrateur frappe, cogne et martèle le visage d'un autre combattant (Jared Leto) jusqu'à sa perte de connaissance. Tyler se demande pourquoi , "j'ai voulu détruire quelque chose de beau." lui répond Edward Norton.
La violence ne peut être uniquement contenue dans le Fight Club. Elle provoque une dépendance. Fincher nous montre ce qui la rend attrayante. Il fait dire à Tyler dans une de ces nombreuses tirades philosophiques : " Nous sommes les enfants de l'histoire, élevés par la télévision dans la conviction qu'un jour nous serons millionnaires, vedettes de cinéma, stars de rock, mais cela ne se fera pas " Dans cette société , beaucoup de personnes se sentent impuissantes, incapables de changer leurs vies. Ils n'ont plus d'espoir. La violence est une façon d'exercer au moins un petit contrôle sur autrui, ne fût-ce que pendant un temps très bref.
La violence est parfois l'expression de ceux qu'on asphyxie : ils ont tout simplement la prétention de respirer.
Irénée D. Lastelle
Ce film est-il anarchiste, fasciste ou nihiliste ? Il est sans doute un peu de tout cela à la fois. Ce qui est certain c'est que de nombreux monologues philosophiques de Durden sont profondément nietzschéen tel que " Ce n'est qu'après avoir tout perdu qu'on est libre de faire ce que l'on veut .
Certains ont prétendu que ce film était d'inspiration anarchiste. Je crois qu'on a oublié que l'anarchie est d'abord un projet de société libre et égalitaire où l'état sera remplacé par une démocratie directe. Bien sur, dans ce film des idées anarchistes sous-jacentes sont présentes. Il y a même une scène où des slogans publicitaires sont légèrement détournés. Le détournement ou plutôt le retournement de publicité ont été beaucoup utilisé par les situationnistes pour démystifier le mensonge marchand. Mais de nos jours tout le monde se prétend situationniste. Même nos ennemis !
Certes le fascisme y est aussi présent mais ce n'est pas un fascisme au sens où on l'entend actuellement. Cela pourrait plutôt être ce premier fascisme, ce fascisme révolutionnaire, ce " fascisme-mouvement" selon la formule de Renzo de Felice.
Mais c'est avant tout un film nihiliste . Un nihilisme comme l'a perçu Heidegger "Le nihilisme est le mouvement universel des peuples de la terre englouti dans la sphère de puissance des temps modernes. " Norton et Durden ont une indifférence à la vie qui est la marque universel du nihilisme.
Fight Club est une expérience inoubliable qui probablement (et malheureusement) devient de plus en plus prophétique avec le temps. En montrant l'impasse de cette société dans ce film fin de siècle Fincher nous propose d'aller au delà du nihilisme, d'aller vers un nihilisme actif déjà visible chez Nietzche, d'inventer un nouvel homme.
Re: Fight club
Vu de cet angle, c'est vrais, la morale du filme est vrais et on est plein dedans, on ne vie que pour l'argent pour après se payer les belle voitures...etc et que notre vie n'a pas de sens, spécialement nous les Algériens, on est la a attendre que l'avenir vienne a nous sans aucune intention de le travailler, notre vie est trop monotone.
Mais de la a tout laissé tomber pour crée une anarchie rien que pour casser la routine, je trouve que c'est trop, dans la vie il n'y a pas que l'argent qui nous rend heureux, il y a l'amitié, l'amour ...etc je pense qu'on peut avoir cette philosophie (celle du filme) tout en restant raisonnable, travailler juste pour survivre et faire autre chose en parallele. Je ne dis pas que le filme est mauvais, loin de la, je trouve juste que cette vision est trop exagéré
Voila, moi j'apprécie l'aspect cinématographique du filme.
Mais de la a tout laissé tomber pour crée une anarchie rien que pour casser la routine, je trouve que c'est trop, dans la vie il n'y a pas que l'argent qui nous rend heureux, il y a l'amitié, l'amour ...etc je pense qu'on peut avoir cette philosophie (celle du filme) tout en restant raisonnable, travailler juste pour survivre et faire autre chose en parallele. Je ne dis pas que le filme est mauvais, loin de la, je trouve juste que cette vision est trop exagéré
Voila, moi j'apprécie l'aspect cinématographique du filme.
Re: Fight club
il faut ke kelke chose arrive dans le film ou dans la réalité.
c'est pour ca qu'on dois réspecter tt le monde.
chacune des attitudes est un geste de sagesse, vu que c'est pour échapper a l'ennui
c'est pour ca qu'on dois réspecter tt le monde.
chacune des attitudes est un geste de sagesse, vu que c'est pour échapper a l'ennui
Re: Fight club
fight club est certainement un de mes films preferé (comme tout les fims avec E Norton) et ou brad pitt n'est pa juste bel geule ce ki le met a son avantage
c'est vrai ke le point de vue est tro fort.......tu t'attend a tout sauf a la chute du film.....le debut ossi est pas mal.....tout les clubs de soutien ou il va pour pouvoir pleurer.....
mé ce ki me chifonne un peu c'est la surenchere dans la violence yavé ptrer pa a allé ossi loin ke ca.....sa oré ptetr pu etr moin exagéré mé bon....ca n'auré pa eté le Fight Club..........
1ere regle : ne parle jamé du fight club.....
2eme regle:ne parle jamé du fight club.....
(a propos c Marla sTinger pas singer....)
................je sais...........je fais l'interessante....
ki peu me dire ce kil pense du film d'animation réalisé par Tim Burton "L'ETRANGE NOEL DE MR JACK"???
c'est vrai ke le point de vue est tro fort.......tu t'attend a tout sauf a la chute du film.....le debut ossi est pas mal.....tout les clubs de soutien ou il va pour pouvoir pleurer.....
mé ce ki me chifonne un peu c'est la surenchere dans la violence yavé ptrer pa a allé ossi loin ke ca.....sa oré ptetr pu etr moin exagéré mé bon....ca n'auré pa eté le Fight Club..........
1ere regle : ne parle jamé du fight club.....
2eme regle:ne parle jamé du fight club.....
(a propos c Marla sTinger pas singer....)
................je sais...........je fais l'interessante....
ki peu me dire ce kil pense du film d'animation réalisé par Tim Burton "L'ETRANGE NOEL DE MR JACK"???
chaklala girl- Maitre Epautiste
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Nombre de messages : 303
Date d'inscription : 23/02/2006
Re: Fight club
fight club ? un film? mais on est ds un fight club !!!
PS: j'ai vu ce film , il dechire !!!!
PS: j'ai vu ce film , il dechire !!!!
Nahhoul- Epautiste actif(ve)
-
Nombre de messages : 45
Age : 37
Localisation : Philippeville
Date d'inscription : 28/02/2006
Re: Fight club
ehh bein ça commence quand Mr Edward detruit son apart, il reçoit un coup de fil........puis...........puis..............il tire une balle ds sa bouche(the end)lol........et pafff ça fait des chokapick !!!!!!
Nahhoul- Epautiste actif(ve)
-
Nombre de messages : 45
Age : 37
Localisation : Philippeville
Date d'inscription : 28/02/2006
Re: Fight club
fight club...fight club...LE FILM.magnific,il nou pousse a reflechir, c rar dan les films d'oj
Edward Norton eblouissant...genial
je vous conseille de voir la 25eme heure de spike lee avec justement Edward Norton la aussi genial avec 1 musik sublime.
ki a vu down in the valley???
Edward Norton eblouissant...genial
je vous conseille de voir la 25eme heure de spike lee avec justement Edward Norton la aussi genial avec 1 musik sublime.
ki a vu down in the valley???
hakdela- Epautiste
- Nombre de messages : 6
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Date d'inscription : 10/04/2006
Re: Fight club
hakdela a écrit:fight club...fight club...LE FILM.magnific,il nou pousse a reflechir, c rar dan les films d'oj
Edward Norton eblouissant...genial
je vous conseille de voir la 25eme heure de spike lee avec justement Edward Norton la aussi genial avec 1 musik sublime.
ki a vu down in the valley???
oui les soundtracks de térence blanchard sont magnifique sue la 25eme heure
Re: Fight club
Ah j'ai vu ce film "Fight Club" et j'ai adoré la fin, une vraie 7echwa, une fin auquelle personne ne s'attendait....d'habitude on croit pouvoir deviner la fin ou la suite des evènements dans un film, mais pas celui-ci !! bon bref!!
Un ami m'a dit (donc info non verrifiée) que tout les couples ayant vu le film au ciné ont fait l'amour juste après (à la maison bien sûr ).
Mais une chose est sûre!! c'est que plusieurs fois dans le film (et j'ai pu le verrifier) y a des flash (une sorte d'imgae qui ne dure qu'une fraction de seconde), montrant brad pitt, la première s'affiche avant même l'apaprition reèl de Brad dans le film....La deuxième bien après, mais montre une partie intime du corps de cet acteur!!
Quelqu'un l'a remarqué? ou personne?
Un ami m'a dit (donc info non verrifiée) que tout les couples ayant vu le film au ciné ont fait l'amour juste après (à la maison bien sûr ).
Mais une chose est sûre!! c'est que plusieurs fois dans le film (et j'ai pu le verrifier) y a des flash (une sorte d'imgae qui ne dure qu'une fraction de seconde), montrant brad pitt, la première s'affiche avant même l'apaprition reèl de Brad dans le film....La deuxième bien après, mais montre une partie intime du corps de cet acteur!!
Quelqu'un l'a remarqué? ou personne?
Diablange- Hyper Epautiste
-
Nombre de messages : 231
Age : 39
Localisation : ...Entre le Paradis et l'Enfer...
Date d'inscription : 21/06/2006
Re: Fight club
c'est vrai qu'il y a des messages subliminaux mais ce ne sont pas des parti intimes, david finsher ne se serais pas risquait a le faire en donnant a son film; un caractere sexuelle ou exhubateur de la star.
Re: Fight club
Van Der Rost a écrit:c'est vrai qu'il y a des messages subliminaux mais ce ne sont pas des parti intimes, david finsher ne se serais pas risquait a le faire en donnant a son film; un caractere sexuelle ou exhubateur de la star.
Si je pouvais je t'aurais montré ça, j'ai le film sur mon pc...mais na7cham tu vois!!! Bon bref. . .
Diablange- Hyper Epautiste
-
Nombre de messages : 231
Age : 39
Localisation : ...Entre le Paradis et l'Enfer...
Date d'inscription : 21/06/2006
Re: Fight club
J'atteste, juste avant le générique de fin, il ya une image subliminale, c'est le meme principe qui est decrit vers la moitiée du film, quand Brad Pitt dit qu'il est projectionniste dans une salle de ciné et qu'il s'amusait a mettre des images de films pornos entre deux rouleaux de bobine
PS: C'est LE film (avec Trainspotting bien sur)
PS: C'est LE film (avec Trainspotting bien sur)
Re: Fight club
jé reverifié pour ceux que ca interesse, j'ai compté en tout 5 images subliminales, dont une porno
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