Vassili Kandinsky et bernard tschumi

gropius a écrit:tu me pose une colle là! désolé ça fait plus de 8ans ke je l ai lu. je le ferai des ke j aurais du temps promis.
P.S. t es pas obligé de me vouvoyer

HBM a écrit:

gropius a écrit:tu me pose une colle là! désolé ça fait plus de 8ans ke je l ai lu. je le ferai des ke j aurais du temps promis.
P.S. t es pas obligé de me vouvoyer

salut gropius, ravi de te voir de nouveau sur le forum
ça fait un bail

chrysanthéme a écrit:j'aurai bien aimé ke tu me donnes un peu de lumiere sur ma kestion HBM ......
CONTENTE d'avoir fé revenir gropius pour toi .......

chrysanthéme a écrit:alors eclaire moi stpppppp..... hawjiyana tschumi dakhlouh lalhabs ?????
je suis restée longtemps troglodite et ya ke ces derniers jours ke je suis sortie de mon ermitage .......alors exmplik hadi l'histoire ya3 prison et vas y molo molo avec moi...
et si c du genre delire .....alors bien joué
en plus NOS projets walou khouna machi prétentieux !!!!!!!!!!!!!

PS: si je comprend bien faut k'on contact l'archi lui mm pour nous expliker se ki la fé ....sinon pas moyen d'avoir des renseignement c ca .....

Parc de la Villette
Paris, 1982-1998

Le concours pour l'aménagement du Parc de La Villette reste l’un des premiers dans I'histoire récente de l'architecture à établir un nouveau programme, celui d'un parc urbain sans précédent proposant la combinaison et la juxtaposition d'activités diverses. Bien que développant des analyses marquées par I'histoire des cités, aucune d’entre elles n'avait abordé le problème des activités dans la ville. Aucune n'avait vraiment considéré que l'organisation de programmes et d'évènements fait autant partie de I'architecture que l'élaboration de formes ou de styles. suite

Le Parc de La Villette, au contraire, avec son centre culturel en plein air, encourageait une politique de programmes intégrés à la fois à la ville et à ses limites. Le programme du nouveau parc urbain exigeait des ateliers, des terrains de jeux, des lieux d'expositions, de sports, de concerts, d'éducation scientifique, de jeux ou de concours, cela en addition au Musée des sciences et de I'industrie et de la Cité de la musique. Le Parc pouvait être ainsi considéré comme un des plus grands bâtiments jamais construits, un édifice discontinu mais possédant une structure unique, se superposant dans certaines de ses parties avec la ville et sa banlieue.

Durant le XXe siècle, nous avons assisté à un changement concernant le concept de parc, lequel ne peut plus désormais être dissocié du concept de la ville. Le parc forme une partie de la vision de la ville. Le fait que Paris concentre un emploi professionnel ou tertiaire aussi bien qu'ouvrier milite contre les parcs d'esthétique passive et pour de nouveaux parcs urbains basés sur l'invention culturelle, I'éducation et la récréation. Le dépassement de la polarité civilisation/nature dans les conditions de la ville moderne a invalidé le prototype historique du parc en tant qu'image de la nature. Le parc ne peut être conçu comme un modèle d'un monde utopique en miniature, protégé de la réalité vulgaire. Plutôt qu'un refuge, le parc contemporain ne peut être vu que comme un environnement défini par les préoccupations de I'habitant de la ville, à travers des besoins récréatifs et des plaisirs déterminés par les conditions de travail et les aspirations culturelles de la société urbaine contemporaine. retour

Info

CALENDRIER
Concours International, 1er prix, 1982/3
Livraison, 1998
SUPERFICIE
55 hectares
COÛT
600 M €
MAÎTRE D’OUVRAGE
Etablissement Public du Parc de la Villette
PHOTOGRAPHIE
J.M. Monthiers, Peter Mauss/Esto, Sophie Chivet
EQUIPE
Architecte : Bernard Tschumi Avec : Luca Merlini, Alexandra Villegas, Luca Pagnamenta, Galen Cranz, Phoebe Cutler, William Wallis, Jon Olsen, Thomas BalsleyJean-François Erhel, Ursula Kurz, Christian Biecher, Marie-Line Luquet, Neil Porter, Steve McAdam, Jean-Pierre Nourry, Didier Pasquier, Renzo Bader.
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Program: Culture, Urbanisme, Spectacles, Théorie

His scheme, which paid little attention to existing structures, was based on the superimposition on the site of a series of theoretical points, lines and surfaces, a geometrical concept reminiscent of Vasily Kandinsky’s theories.

...Tschumi’s premiated design of 1984 drew its essential parti from three paradigms: from Eisenman’s Cannaregio proposal, from Wassily Kandinsky’s didactic ‘point’ line and finally from an approach to disjunctive spatial narrative related to the nonsequential cutting technique pioneered by the Soviet avant-gardist filmmaker Kuleshov.

(Kenneth Frampton. Modern Architecture: A Critical History, 1992).

chrysanthéme a écrit:ca fé plaisir.... je suis pas seule ds le club bleu ...... merci de m'aider
j'essairai d'eclaircir ce sujet incha allah et le mettre pour les peu ki s'y interesse ....merci